Ce n’était pas une tare de croire qu’il était possible de rendre meilleur, de rendre plus solide, ce qui commençait à rouiller. Mon prédécesseur avait commencé à mettre la main à la patte que son mandat avait déjà pris fin. On avait beau se dire qu’il était tout à fait possible de mettre en place le plus de projet possible, du moins les plus importants, mais un an c’était peu. Beaucoup trop peu. C’était exactement la raison pour laquelle je sortais ma grosse artillerie dès le second jour de mon mandat : le quartier général de la G.C.P.D. Pourquoi cette attention particulière pour la police bien aimée de notre ville en perdition ? Parce que, tout simplement, elle suffoquait de l’intérieur. Ils avaient les effectifs, c’était un fait, beaucoup s’engageaient courageusement dans le corps policier. Ce n’était pas anodin de porter une plaque dans un lieu aussi obscur que Gotham. L’âme de celle-ci vous aspirait lentement et il était toujours trop tard lorsqu’on s’en rendait compte. Tout le monde n’avait pas l’opportunité de porter un masque, une cape, de s’armer de gadgets high-tech qui vous sauvait la mise plus d’une fois.
Alors les ressources viendraient à ces hommes et femmes, qui avaient des familles désireuses de les voir rentrer sain et sauf après le travail. — Garez-vous non loin des marches, Mr. Miller, je vous prie. Le chauffeur s’exécuta et je descendais de la voiture, accompagnée de mon adjointe. Je tenais à ce qu’elle me suive partout où j’allais, à ce que les photographes nous prennent en photo ensemble. Il était important que tout ceux ayant voté pour Eugenia lors du premier tour d’élection voit qu’ils n’avaient pas fait d’erreur en plaçant leur confiance entre mes mains. Alors que nous nous dirigions vers notre destination qui ne se trouvait qu’à quelques mètres de là, les cris désespérés des journalistes nous suivaient à la trace. Je n’avais hélas pas le temps, pour l’instant, de m’attarder à cela. Ils m’avaient d’ailleurs quelque peu déçu, le jour de mon élection. La plupart de leurs questions s’était portée non pas sur ma politique mais sur du people pur et dur.
Mes talons martelaient le sol tandis que je foulais le hall du Commissariat. Du regard, je cherchais déjà James Gordon, qui avait été averti de ma présence aujourd’hui. Le bonhomme qui en imposait dans ses locaux n’allaient pas nécessairement être présent, mais il me fallait néanmoins rencontrer un haut-gradé ne serait-ce que pour la paperasse administrative que cette action nécessitait. J’avais autorisé un unique journaliste à me suivre, choisi par mes soins pour sa discrétion et ses compétences. C’était à peine si je le verrais dans mon champs de vision lorsqu’on me fera faire un tour des effectifs, des ressources, des locaux les plus délabrés. Le mail d’information que j’avais envoyé à l’équipe sur place précisait que rien ne devait être laissé de côté et j'espérais bien qu'ils le prennent au mot.
Entourée de ces officiers, sergents, inspecteurs et leur hiérarchie, je croisais les mains devant moi en me tenant bien droite. Les traits de mon visage laissait deviner un enthousiasme qui ne faisait que commencer et dont la motivation n'allait cesser de croître, d'autant plus si j'avais leur soutien. Je les regardais un à un, alors les premiers mots s'échappaient d'entre mes lèvres. — Bonjour, répétais-je en souriant à tous ceux qui s’empressaient de venir me serrer la main. Certains étaient plus réticents que d’autre, sans doute que mon passé houleux leur restait en travers de la gorge. J’étais compréhensive face à ces attitudes négatives, à leur place je me méfierai aussi si un criminel débarquait en sortant le drapeau blanc, tel un chevalier blanc qui promettait de résoudre tous les problèmes. C’était là un but impossible et quiconque l’affirmait était un menteur ; néanmoins je pouvais promettre que j’allais faire de mon mieux. — Merci pour votre accueil, c’est un plaisir pour moi de me retrouver ici en votre charmante compagnie. Vous savez certainement tous la raison de ma venue, c’est tout simplement vous. Qu’avez-vous dans vos tiroirs ? Quelles sont vos ressources les plus limitées ? Avez-vous besoin de plus d’espace, de plus de formations ? Le but est de vous donner les meilleurs moyens pour combattre le crime sans y laisser à chaque fois une part de vous-même, voire même la vie.
Le journaliste, caméra en main pour immortaliser cet instant qu’il retravaillerait plus tard, passait son temps, capturaient les remarques, les questions et les réponses qui fusaient après cette brève introduction en la matière.
(c) sweet.lips
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Sujet: Re: Renforcer le GCPD Dim 9 Jan 2022 - 22:10
-M le procureur...
Je levais la tête, où étais-je? Je me frottais les yeux et regardais la personne qui me parlait. C'était Sarah ma secrétaire. Je me frottais le front, j'avais passé la soirée dans les papiers. Je tentais de trouver un quelconque début à ce mandat. Comment résoudre toute la merde qui dégouline de cette ville? Je reposais mon front sur la table en soupirant.
-Bonjour Sarah... si vous vous demandez, j'ai passé une super soirée. Content de voir que vous êtes toujours là.
-Bonjour Monsieur le procureur, en arrivant j'ai vu une sorte de cortège se préparant près de la mairie. De ce que j'entendais, Madame la maire devrait se rendre au GCPD.
Ho bordel... comment allaient ils l'accueillir... heu non heu devrais-je profiter du moment pour m'annoncer aussi? Ce serait le meilleur moment non? Cela prouverait notre alliance entre la maire et moi. Je me levais d'un coup et je fonçais vers une armoire pour attraper un costume.
-Sarah, basculez mes rendez vous sur une autre journée et merci pour l'info. Je me prépare et je file.
Je me préparais illico presto, et je filais en direction du GCPD. C'était sûrement le meilleur moment de se présenter. En tout cas, Madame Wayne ne trainait pas. Elle allait utiliser chaque jour de sa présidence pour donner tout se qu'elle pouvait.
Lorsque j'arrivais à me faufiler dans le GCPD, elle était en plein discours. Elle demandait clairement ce que le GCPD avait besoin.
Alors qu'elle finissait sa phrase, j'enchainais.
-Je dirais même que nous ferons tout ce qui se trouve en notre pouvoir pour vous aider dans vos missions du quotidien. J'avançais un peu, saluant de la main les membres du GCPD. J'adressais aussi un sourire à notre cher Maire. J'aimerais que vous sachiez que je suis aussi là pour vos demandes. Je vous épaulerais du mieux que je peux pour vous permettre de mener à bien votre travail.
Sur cette brève introduction, je me plaçais sur le côté. Je ne souhaitais pas interposer avec notre Maire et son adjointe. Néanmoins je souhaitais montrer ma présence et mon soutient. Que cela soit pour les membres du GCPD ou Madame Wayne, les deux parties devait voir que le procureur était de le côté.
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Sujet: Re: Renforcer le GCPD Dim 9 Jan 2022 - 22:23
Par ici la sortie
Davis n'aimait pas cela, ni la maire, ni les caméras, ni le procureur, ni toute cette neige, cela lui était presque insupportable. Sa Californie natale lui manquait parfois, soleil et sa base militaire où tout était réglé comme du papier à musique. Mais elle avait un job en or en ce moment, espionner cette police de l'intérieur pour ensuite mener des actions coups de poings là où cette police de vendus n'allait jamais.
Alors voir cette dinde d'arriviste de Sélina Kyle déambuler dans les locaux la faisait bien rire, a tel point qu'elle dû mettre une feuille d'un rapport quelconque devant le bas de son visage pour cacher son sourire sardonique durant son speech. L'arrivée tardive du procureur la fit sourire de plus belle.
Son binôme, le vieux Marty, affalé dans un coin de la pièce, lui fit les gros yeux devant cette démonstration de flic désabusée face aux politiques. Ce n'était que sa troisième semaine chez les bleus et cette année commençait en fanfare !
_ "Tiens, c'est du café pour la maire et le proc, va les faire asseoir dans le bureau du patron, y va pas tarder." Râla le vieux Marty en lui tendant une cafetière pleine.
_ "Je leurs lis leurs droits avant ou après leurs cafés ?" Fit-elle avec un sourire angélique.
_ "Déconne pas Harper" repondit du tac au tac le vieux Marty.
La grande blonde fit, comme toujours, ce qu'on attendait d'elle. Après tout, c'était son rôle. Elle fendit la foule après la fin du discours de la belle brune, sa potiche d'assistante et le le cramé en costard. Et se planta devant elle prenant un petit air impressionné, malgré sa grande taille et ses larges épaules.
_ "Madame, si vous voulez me suivre. On va vous faire patienter dans le bureau du chef. On me dit de vous dire qu'il arrive bientôt." Elle tourna casaque et s'enfonça dans le hall pour monter d'un étage et emmener tout ce petit monde dans le bureau de Gordon. Jetant parfois des regards derrière elle pour savoir si elle était bien suivie par les trois politiciens et le service média de la mairie.
Harper laissa entrer les 2 femmes et l'homme, mais le reste de la clique fut expulsée, contraint à rester dans un autre bureau. La californienne leur indiqua les sièges, et posa la cafetière sur le bureau, loin de toutes tasses. Son expression avait changé pour ne montrer qu'un visage dur.
_ "Bon le café est là, les tasses, je ne sais pas... Vous vous démerderez bien toutes seules, j'ai du boulot. Et on regarde avec les yeux, Kyle." fit-elle en lui adressant un clin d'œil les moins sympathique de l'histoire des clins d'œil. Le matricule 7102 sortie de la pièce non sans adresser un majeur à toutes les personnes présentes, mais assez bas pour qu'elles seules puissent le voir.
_ "A plus tard à BlackGate" dit-elle doucement en refermant la porte tout aussi doucement.
Codage par Libella sur Graphiorum corrigé by Gritch
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Sujet: Re: Renforcer le GCPD Dim 9 Jan 2022 - 23:24
Renforcer le GCPD
Eugenia appréhendait ce moment. Entrer dans le poste de police, par la grande porte, en tant que femme à responsabilité dans cette organisation de clowns. De clowns sympas, pas comme son meilleur ami le Joker qui était un clown pas vraiment sympa. C'était étrange. Ce qui était plutôt étrange, alors qu'elle parcourait ces couloirs moroses, c'était l'absence de l'Inspectrice Richardson. Eugenia n'aurait jamais cru que son décès rendrait cet endroit plus morbide que quand elle était vivante. Avec le temps, passé le ressentiment et la haine violente d'avoir trouvé une chasseuse taillée pour elle et ses carabistouilles, la grande russe avait fini par... comprendre que Richardson ne lui voulait pas vraiment de mal personnellement. Qu'elle ne faisait que son travail. Au fur et à mesure que on reléguait l'affaire Volgin à d'autres, elle s'était éloignée d'elle et tout naturelleme, Richardson disparut du paysage de la haine et du besoin de vendettas de la Russe. A présent... elle ne connaissait plus vraiment personne. Il y avait Mia, Serena. Sa maman, dont elle avait perdu le nom. Celle qui mettait des talonnettes pour être plus grande qu'elle. Et évidemment sa soeur qui l'attaquerait à vue si elle la croisait.
Eugenia avait mis son joli tailleur et s'était coiffée avec soin. Son petit tailleurlady qu'elle mettait pour avoir l'air sérieuse, avec des sous-vêtements particulièrement EXISTANTS. Peut-être un peu sexy, certes, mais EXISTANTS. Ce qui l'avait motivée davantage à se maquiller c'était de pouvoir courir vers Lisbeth se faire réconforter après ce meeting avec les policiers, alors elle voulait être la plus belle possible pour ce moment. Il y avait avec maman Selina, et monsieur moitié-Guacamole. Ils se firent accueillir par une grande dame très musclée. C'était maman River mais en blonde. Un hybride entre Elena et River. L'agressivité d'Elena et le mètre 79 de River + talonnettes. Eugenia se glissa subrepticement près d'elle et leva sa main au-dessus de sa tête pour comparer sa taille avec celle de la géante (en se mettant sur la pointe des pieds quelques fois), discrètement, mais scomme c'était Eugenia, de façon cramée qui pourrait être ultra irrespectueuse si on ne connaissait pas l'innocence puérile d'une Jénya qui complexe d'être trop grande ou trop petite en fonction de la personne en face. Elle devait bien faire 1m79999 ! Avec ses talonnettes, elle était ainsi plus grande que Eugenia qui faisait 1m80 mais les talons sur le sol, sans talonettes.
La femme était visiblement très énervée contre la maire et n'hésita pas à se montre particulièrement peste. Le plus curieux était qu'elle semblait viser maman Selina plus que Eugenia. Peut-être avait-elle pris le temps de lire le dossier d'Eugenia et ainsi de voir qu'elle était parfaitement innocente, et plus folle. Cela expliquerait pourquoi elle n'était pas visée en premier malgré ses crimes aussi nombreux qu'immoraux.
- Eh bien, si on est accueillis ainsi. On se donne la peine de venir les écouter et ils nous insultent, c'est donc ça la politique ? Je veux bien avoir le nom de cette dame, qu'on discute seule à seule.
En croisant le regard de Selina, Eugenia eut un petit sourire moqueur.
- Je, juste pour parler respect, hein.
Messages : 198 Date d'Inscription : 12/05/2021
▲ Goth-Passeport ▲ Alliés: Ennemis: ♥ Love interest: Bodybuilding Musculation /armures / armes /cigare (cubain) /jeux videos / danse / gamineries / SURF / gay Armes & gadgets: ♦ Domicile à Gotham : Gotham central Hotel (RDC chambre A6 )un hotel de classe moyenne a deux blocs du GCPDBradley Shepard
Sujet: Re: Renforcer le GCPD Lun 10 Jan 2022 - 22:48
il y a des jours ou comme cela Bradley renonçait à comprendre le fonctionement du GCPD la veille au soir son planing prévoyait une journée de patrouilel avec son coéquipier assez loin du commissariat pour aujourd'hui et voilà que à 6h30 du mat on l'appelle pour exiger sa présence au commissariat pour assurer la sécurité dan sle hall en armure avec son gauss C14, affin d'y attendre le maire qui devait venir en visite puis assurer la sécurité de ce beau monde le temps de leur sejour dans le commissariat.
Le soucis c'est que ... Braldey n'était pas vraiment à Gotham cette nuit là mais au manoir de la suicide squad et que son armure et gauss C14 était enfermé dans leur coffre blindé à son hotel ... alors le temps d'y aller de mettre l'armure il ne serait pas à l'heure et devrait rouler vite pour ne pas être trop en retard.
...
Un temps trop long pour le planing et la pointeuse plus tard. Bradley pénétrait au pas de course le commissaria par la porte arrière puis san sralentir tout en veillant a ne rien renversser ni bousculer qui que se soit. enfin en vue de la porte donnant sur le hall Braldey ralenti le pas son fusil en main près a faire son entréeen mode soldat armuré de sécurité. sauf que au moment d'entrer il n eput voir que le groupe quitter la pièce mené par une colègue musclée que Braldey n'avait pas encore trop eut l'ocasion de cotoyer jusque là.
Quoi qu'il en soit jouant son rôle c'est anormalement silencieux pour un gars en armure que Bradley ferma la marche du groupe les suivant jusque au bureau du patron ou sa colègue les plaça pour le maire et le procureur et un bureau a coté pour les autres du groupe. Ce postant en garde de la porte du bureau du patron ou se trouvait le maire et le procureur à attendre, Bradley vit dans le couloir ses deux colègues sortir du second bureau ou Bradley décida de les saluer pour eventuellement faire connaissance.
"salutation civiles mesdames on vous a mit aussi sur la sécurité de la visite du maire ? "
Leur dit Bradley hochant poliment et cordialement du casque à leur encontre.
Sujet: Re: Renforcer le GCPD Lun 17 Jan 2022 - 21:34
renforcer le GCPD -- rp groupé.
t’étais prise dans tes recherches. quelques mèches de cheveux tombant devant ton visage, ton doigts suivant les lignes manuscrites. tu analyses, réfléchit, passe d’un dossier à un autre, alternant. depuis que ta coéquipière s’était mise en arrêt, tu te trouvais seule à devoir gérer un nombre considérable de travail ce qui commençait à poser problème dans ton apprentissage pour la scientifique. mais tu ne te posais pas plus de question, simplement car tu voulais que les choses soient bien faite et que si, un jour mia revenait - tu l’espérais sincèrement, car elle te manquait vraiment - elle n’aurait pas loupé trop de choses et seraient en mesure de pouvoir rattraper rapidement le navire. dans tous les cas, depuis quelque temps tu ne comptais littéralement plus tes heures au GCPD et les cernes sous tes yeux le montrait tout particulièrement.
tu étais tellement prise par tes responsabilités et ton travail que tu ignorais ce qui se passait à l’étage et tu ignorais notamment la visite de selina et son adjointe. toi, t’étais juste enfermée dans cette salle des archives avec comme seule source de lumière sur l’étude de ton dossier, cette lampe de chevet qui était un calvaire pour tes yeux. tu entends des bruits de l’autre côté de la porte et ça entre, sans taper. tu redresses le visage, observant la simple personne présente. vous restez là, à vous observez pendant quelques secondes tandis que tu tiens une pièce à conviction sous sachet en main. – oh sergent, vous tombez bien ! est-ce que vous savez où se trouve le commissaire par hasard ? il te demande. tu hausses un sourcil, balayant cette mèche rousse qui tombait encore et toujours devant ton visage. – vous savez officier, c’est pas parce que je suis sa fille que je sais absolument le moindre de ses faits et gestes. il se sent un peu bête, et tu vois bien qu’il a l’air d’autant plus nerveux. tu hausses un sourcil, curieuse de savoir si toi, tu pourrais lui venir en aide. – qu’est ce qui se passe ? il t’explique alors la situation. tu acquiesces, l’écoutant. et c’est ainsi que tu retires le gant que tu avais enfiler pour toucher aux pièces à conviction, attrapant simplement ton mug. tu sirotes une longue gorgée de ta boisson tandis qu’il te tient la porte. tu te retournes sur son passage et l’observe. – je prends le relais. en attendant est-ce que vous pouvez vous occuper de me retrouver un dossier ? toutes les indications sont sur le bureau, au fond de la salle. je compte sur vous. tu tapes son épaule pour lui souhaiter du courage et tu quittes enfin les locaux des archives pour remonter en quatrième vitesse. tu vois du mouvement à travers les volets du bureau de ton père, tu accélères et tandis que tu arrives, tu remarques qu’un officier quitte le bureau d’un air tout ce qu’il y a de plus désabusé. si tu n’entends rien de ce qui se dit, le regard que tu lance à l’officier davis démontre bien que tu ne la louperas pas. tu étais loin d’être celle avec le plus d’ordre ici, mais tu prenais ton rôle de sergent au sérieux et tu pouvais te permettre de reprendre les officier à la volée si ils semblaient ne pas faire les choses comme il fallait.
tu finis par enfin arriver au niveau du bureau de ton père, toujours ton café en main et tu salut les officiers présent pour s’assurer que personne de suspect n’entre dans le bureau. tu en profites pour bien montrer le badge à ta ceinture, car même si la plupart te connaissait pour avoir la réputation d’être la fille du chef, d’autres ne savaient toujours pas mettre un visage sur la célèbre barbara gordon. et bien que shephard était ici depuis longtemps, tu ne lui avais jamais vraiment parlé. tu lui offres un petit sourire des plus amical pour le remercier de son service et tu entres dans le bureau, cet éternel masque de confiance au visage. il fallait dire qu’être en face de selina était loin d’être très intimidant car tu l’avais vu dans bien d’autre situation. par contre, ce qui concerne dent tu gardait une certaine retenue, et l’adjointe, n’en parlons pas. tu ne comprenais d’ailleurs toujours pas ce que la célèbre chatte noire avait pu trouver envers la dites miss gotham - t’avais beau être remonté contre bruce, les propos qu’elle avait tenue à la suite de sa pseudo mort te restaient en travers de la gorge. voilà d’autant plus pourquoi tu ne comprenais pas pourquoi selina l’avait choisi elle.
– madame le maire, monsieur le procureur ! tu déclares cet éternel air jovial au visage. ne rien laisser paraître même si tu connaissais le passif sombre du dit procureur qui, pour l’instant, n’avait pas fait un seul faux pas. mais ça n’empêchait pas le dossier que tu avais sur lui d’exister encore. – avant tout, désolé pour l’attente ! je viens d’apprendre que le commissaire était en intervention à l’autre bout de la ville. j’ai conscience que je ne suis que sergent, cependant, pour avoir passé énormément de temps dans ces locaux je pense être en mesure de pouvoir répondre à vos questions et vous faire un petit tour du propriétaire. si tes yeux bleus passent sur tous les visages, ils s’arrêtent finalement sur selina qui est probablement la seule qui réussi à vraiment te mettre en confiance. vous n’étiez pas les plus proche qu’il soit, cependant, vous aviez connaissance de choses que beaucoup ignoraient de par vos alter-ego. puis cela faisait bien assez longtemps, à tes yeux, qu’elle était désormais digne de confiance. sans oublier que depuis que tu avais toi-même une alliance à ton doigt, vous faisiez officiellement partie de la même famille. les vouvoiement était principalement dû au professionnalisme. vous n’étiez pas dans l’enceinte du manoir mais bien au sein de ton lieu de travail.
– je vous propose qu’on passe directement au tour des lieux ? vous avez probablement déjà perdu assez de temps comme ça, inutile d’en perdre plus, qu’en dites-vous ? tu demandes, toujours aussi jovialement tout en les invitant à te suivre.
(c) mars.
Invité
Sujet: Re: Renforcer le GCPD Jeu 27 Jan 2022 - 18:27
Renforcer le GCPD
feat GCPD (libre)
Le commissaire n’avait pas répondu à mes nombreuses sollicitations. Il n’était visiblement pas présent et n’avait pas jugé nécessaire de m’acceuillir dans le repaire de la police, moi qui me faisais une joie de collaborer avec lui pour une meilleure prise en charge de ses hommes, pour renforcer leur sécurité face aux criminels les plus dangereux. Comment devais-je prendre l’absence de James Gordon ? Était-ce un acte délibéré pour me faire comprendre que mon élection à la mairie ne l’enchantait pas, qu’il ne comptait pas s’allier au nouveau maire de Gotham pour un meilleur avenir des citoyens ? Catwoman ne faisait pas définitivement partie de mon passé, et sans doute que je récoltais les lauriers des antécédents de mon alter ego. Je n’avais pas fait que du bien lors de ma tendre jeunesse, sous ce costume, laissant certaine rancoeur à mon égard très tenaces. Ce n’était pourtant pas ça qui me ferait baisser les bras et j’acceptais devoir montrer en acte qu’ils pouvaient amplement me faire confiance.
Nous étions pris en charge par l’officier Harper, dont l’aura désagréable m’était parvenu à la seconde où ses yeux s’étaient posés sur moi. Personne ne lui avait rien demandé et je n’avais pas prévu de me rendre tout de suite au bureau de son supérieur, pourtant elle nous invita à y prendre place. Pourquoi pas ? Après tout, peut-être que le commissaire daignera se montrer, finalement ? Une fois à l’intérieur, le masque dont l’officier s’était muni face à ses collègues tomba derechef. Un fin sourire s’étira sur mon visage tandis que je relevais l’impolitesse qui émanait de chacun de ses gestes et de ses paroles. Elle ne semblait pas me porter dans son estime tout comme elle ne semblait pas être très intelligente non plus. Pensait-elle un seul instant que son comportement resterait impuni ?
“Je ne compte pas boire le café infect servi dans votre central, Officier Harper, mon adjointe va d’ailleurs noter qu’il fera parti des changements à opérer ici.” répliquais-je tandis qu’elle me conseilla de regarder avec les yeux. La flic sortit du bureau et je me tournais vers mes acolytes. “Monsieur le Procureur. Je demande une suspension déterminée de cet officier qui, en service et sur son lieu de travail, se permet une attitude intolérable. C’est inadmissible pour un représentant des forces de l’ordre. Eugénia, veuillez transmettre l’information à ses supérieurs.” terminais-je sur un ton calme. Aucune colère ne me prit d’assaut, mais un désir de faire comprendre les bases à cet officier. La porte s’ouvrit une nouvelle fois, mais au lieu de voir apparaître la silhouette du papa Gordon, c’était sa fille qui nous salua dans son bel uniforme. Oh, comme Dick ne cessait de parler d’elle, il en était fou.
“Bonjour, Sergent Gordon, c’est un plaisir de vous voir.” Je lui souris amicalement, malgré le fait que nous faisions parties de la même famille, nos relations ne s’étaient jamais réellement approfondies. Mais je l’appréciais pour ce qu’elle apportait à Richard, ce petit méritait de ne pas sombrer comme son mentor. “Vous avez raison ! On vous suit, et n’omettez aucun détail qui vous viennent à l’esprit, Barbara. Nous sommes réellement là pour vous apporter le meilleur à tous les niveaux. Le crime augmente de jour en jour et notre police mérite d’être équipé comme il se doit.” Mes paroles pouvaient sonner faux chez quelques uns de mes adversaires, trop obnubilés par mon parcours de criminelle. J’estimais cependant que tourner la page était aussi important que prouver que j’étais une fille de Gotham au même titre que la population, et que je voulais son bien.
La visite débutait enfin, je me tenais aux côtés de la rouquine qui commençait déjà par énumérer ce qui n’allait pas. Les fonds étaient à leur disposition avant tout autre chose, nous allions régler ce fossé entre la qualité et la quantité.
(c) sweet.lips
Invité
Sujet: Re: Renforcer le GCPD Jeu 27 Jan 2022 - 19:58
Renforcer le GCPD
Les policiers étaient vraiment des bizarres. Eugenia écoutait à moitié ce qu'il se passait, elle comptait les craquèlements dans les murs, et aussi les portes qu'elles passaient. Parfois, à l'approche d'une fenêtre elle était intriguée par les corneilles dehors et aussi par les chats. Elle arrêtait la troupe en marche pour regarder un chat à la fenêtre et sous le regard froid de Selina fit discrètement :
- Maiiiis y avait un chat.
Bon, Selina était pas du genre joueuse. Luke Fox aussi était pas du genre joueur, après, Eugenia avait défoncé le crâne d'un mec à coup de talons aussi. C'était surement le poste de maire, contrairement à Miss Gotham, aucune personne qui aimait jouer était élu. Ce qui la plut toutefois c'était le monsieur robot. Elle ressentait le métal en lui et voulut tout de suite l'écrabouiller dedans. Mais elle se retint parce qu'il avait l'air gentil et aussi son avocat lui avait écrire 100x "je ne dois pas faire l'homicide". Elle avait promis. Bon elle avait été sage et il avait levé la punition mais ce qui compte c'est que la leçon soit comprise.
- C'est un honneur, monsieur. fit-il amicalement. Avant qu'il ne réponde elle avait toutefois rejoint la fenêtre, parce qu'elle avait vu un autre chat qui ressemble au premier. Y a plein de chats ici... Ils furent vite rejoint par une autre fille qu'elle avait déjà croisé à Miss Gotham. L'avait-elle menacée de mort personnellement ? Non pas elle, c'était surtout les Mexicaines qu'elle avait passé au crible. Mais pour sûr leur relation avait pas été reluisante. La poupi Eugenia se sentait un peu comme une renarde dans un asile pour loups, ici. Elle salua et se cacha derrière Selina, qui commençait sérieusement à être énervée par l'absence du papa Gordon, ce qui dissuada Eugenia de tirer discrètement sur son bras pour lui montrer un autre chat qui cette fois-ci se promenait au sein même du bâtiment. Visiblement, Selina n'aimait pas les chats autant que Eugenia. Tant pis. Y a des femmes à chiens et des femmes à chats. Eugenia était une femme à lapin, et pas que les vrais, mais Selina n'était pas une femme à chats.
Eugenia avait sorti son calepin et nota religieusement pour les machines à café. Puis, elle se retint de rire, très professionnelle, lorsque Selina déclara quelque chose alors qu'elle était en train de se retenir de caresser le chat qui venait se frotter contre sa jambe. Elle nota : Officier Harper : fessée (en langage professionnel). La présence de la rousse ravit finalement Selina qui se décrispa un peu et celle-ci avec un oeil acéré dictait à Eugenia tout ce qu'il fallait faire. Eugenia nota tout, ajouta des notes personelles et tout ce qu'il fallait pour faire un rapport impeccable, malgré un orthographe approximatif et la présence de petits coeurs sur les i au lieu de points. Mais ils n'apparaiteraient pas dans la retranscription sur Word, heureusement. Enfin, sauf si elle mettait la police où y av-- pas de police originale. Professionnel.
Invité
Sujet: Re: Renforcer le GCPD Sam 29 Jan 2022 - 14:46
L'accueil fut des plus fracassant. Esperons que l'esprit du GCPD ne soit pas représenté par cet officier. Entre paroles et gestes, ce n'était point une telle posture à adopter à l'encontre de notre Maire et de son adjointe.
Lorsque madame Wayne me demanda une suspension indéterminé, j'hochais la tête. Je sortais mon dossier et j'inspectais le trombinoscope des membres du GCPD. Officier Harper Davis, tiens voila l'officier. Je prenais des notes sur la dite suspension.
-Madame, je vais voir pour régler au mieux la situation et s'il cela amène à une suspension, elle sera réalisé.
Par la suite nous avons été reçu par la fille du Commissaire. Elle s'excusa pour l'attente et nous proposa de faire un tour. Je sens bien que même si elle nous regarde tous, son regard se porte plus sur Madame le Maire. Ce qu'il peut se comprendre, c'est quand même une personne importante et qui est a l'origine de cette venue.
-Bonjour Sergent Gordon, enchanté de vous rencontrer. Pas de Café, pas de commissaire. Un officier Davis Harper extrêmement charmant avec son majeur levé ainsi qu'avec ses paroles à nos encontre et surtout envers celle de notre maire, oui je pense qu'on peut y aller. J'aimerais juste vous dire que nous prenons tout les trois à coeur notre police et que nous souhaitons tout faire pour que votre travail se passe au mieux. Nous savons ce que nous avons fait par le passé... Néanmoins aujourd'hui et demain on aimerait aider pour que la lumière brille de nouveau dans notre ville.
Nous sortions alors et un policer en armure se trouvait devant la porte. Je ressortais mon dossier avec le trombinoscope.
-Officier Shepard, sacré armure. J'aimerais pas me retrouver face à vous pour quoi que ce soit.disais-je avec un sourire.
Madame la Maire venait de le dire, ne rien omettre, nous devions réagir contre le crime au plus vite. Et tout commençait par s'occuper du GCPD.
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