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 La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)

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AnonymousInvité
MessageSujet: La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)    La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)  EmptyMar 25 Déc 2018 - 16:57

Well, it fucked upUnknown vampire & Catwoman J'adore Gotham. On y fait des rencontres formidables à chaque fois que l'on se fait remarquer pour ses talents. La semaine dernière, je rencontrais une personne avec des pouvoirs intéressée par la possibilité de voler quelques trucs avec moi. Son nom est Spark et qu'est-ce qu'il est charmant pour son âge. Dommage qu'il soit plus jeune, on aurait pu passer du bon temps au vu de nos affinités. Oui bon ce n'est pas la première fois que l'on travaille ensemble, mais je trouvais ça tentant de vous faire croire que tous les voleurs de Gotham demandaient de travailler avec ma personne. Oh d'ailleurs, je suis justement avec lui à l'Opéra pour subtiliser un bijou donné à la Soprano pour les prochaines représentations de Der Vampyr, de Henrisch Marschner. Il paraîtrait que ce joli collier serti d'un immense et beau sapphire fait au moins vingt millions de dollars. Comment peut-on passer devant une telle opportunité, surtout en sachant que ce superbe joyau est laissé à disposition du grand public dans le hall ... sous tout de même un nombre ahurissant de capteurs et autres petites joyeusetés faites pour attraper les vilains, vilains personnages ayant des vues sur cette beauté. Je contemple depuis l'écran des caméras que nous avons piratées notre futur mane à billets.
« Regarde moi cette jolie coquine qui n'attend qu'à se faire cueillir par nos mains expertes.
- Elle va t'aveugler si tu continues de la fixer comme ça.
- Mmmmmh ... qu'elle essaie. »
Spark glousse à l'entente de mon ronronnement, mais cela ne le perturbe guère dans la coupure des principaux conduits d'électricité de la salle. Notre plan est de faire en sorte de rendre la salle assez chaude en coupant la climatisation afin de brouiller les capteurs thermiques. Moi, je m'occupe de jouer avec la console principale, dans la salle de surveillance en compagnie des gardiens que j'ai bien évidemment mis à terre. Je bloque peu à peu les lasers de détection quand enfin Spark me rejoint.
« Prête pour le grand plongeon ? »
Je ne fais que lui sourire grandement et c'est amplement suffisant comme réponse.

Nous voilà donc pendus au dessus de ce superbe hall plongé dans le noir complet. Pas d'alarme effective, juste les capteurs thermiques encore en route pour que notre simulation d'incident électrique ne paraisse pas trop gros aux yeux des policiers de Gotham et surtout de ces bouffons de Tyger. Nous nous glissons rapidement jusqu'à l'objet de nos désirs en désolidarisant le processus magnétique nous séparant de la belle, avant que les câbles ne nous ramènent en hauteur.
« Des rumeurs disent que ce collier serait enchanté. Une légende datant du seizième siècle il me semble, sur fond de vampires et de vierges sacrifiées à la gloire d'une comtesse en quête de jeunesse. Le collier contiendrait toutes les âmes des jeunes femmes sacrifiées et permettraient au possesseur d'obtenir chaque trait de leur beauté éternellement.
- Je confirme elle a quelque chose d'enchanté. Je suis sous le charme. »
Et je l'embrasse à pleine bouche, sans me soucier du fait que Spark roule des yeux et soupire grandement face à mon amour pour ce beau bijou. Après ce petit casse, nous devons repartir sur nos pas, rentrer dans l'immense salle afin de retrouver notre petit tunnel aménagé par nos soins dans les coulisses.

La salle:

Cette fuite aurait presque des accents romantiques si nous n'étions pas en train de rire comme de grands gosses et à nous envoyer le magnifique collier entre les sièges. Soudain, je sens comme une présence et je manque de récupérer le fruit de notre collaboration devant les yeux paniqués de Spark. Je tens la nuque, aux aguets, tandis que lui soupire de soulagement en voyant que le collier n'a rien.
« Il y a quelqu'un.
- Tu es sûre ? Je n'ai vu personne sur les caméras de surveillance.
- Je sens pourtant qu'on nous observe...! »
Et mes sens me trompent rarement dans cette catégorie. Nous restons donc silencieux et partons nous fondre dans les ombres.
« Merde. On fait quoi.
- On n'a pas vraiment le choix, chéri. On attend de voir ce qu'il se passe. Reste sur tes gardes. »
Spark hoche la tête et commence à charger ses poings, pendant que je cache le collier dans ma combinaison et m'empare de mon fouet. Qui es-tu, petite chose cachée dans le noir ? Je ne t'avais pas prévue au tableau de ce soir, mais ce n'est pas grave. C'est ce qui fait Gotham. Ses mystères et ses personnes atypiques qui viennent vous chercher à coups de pouvoirs surnaturels ou un peu plus réalistes. Et j'adore ça.

© Crimson Day


Dernière édition par Selina Kyle / Catwoman le Sam 29 Déc 2018 - 23:27, édité 1 fois
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)    La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)  EmptyMar 25 Déc 2018 - 23:18





La nuit des morts vivants.


Silencieusement, tu restas assise dans une place peu visible d’un des loges les plus hautes de l’opéra. Pensive, tu effleuras tes lèvres, serrant ta main libre sur les pans de ta jupe. Si ton cœur pouvait battre, il l’aurait fait violemment, au point de t’étouffer ; malgré ton calme apparent et ton inexpression quasi-totale, ton esprit était agité depuis que ton jumeau t’avait montré les sentiments malsains que tu avais perçu dans les dernières lettres et colis qu’il t’avait fait parvenir. Il s’était montré prudent, jusqu’à présent. Il ne te bousculait pas, il tentait de gagner ta confiance et monter dans ton estime, puisqu’il pensait que tu ne croyais plus ce qu’il disait. D’une certaine façon, tu savais quand il disait vrai et quand il mentait – ce qui était très… récurrent. Toutefois, tu avais remarqué qu’il s’imposait de plus en plus et qu’il ne te voyait pas comme sa sœur – mais comme une femme, la SIENNE. Il était possessif, jaloux et craignait que quelqu’un puisse le devancer et te voler. Ce n’était pas de l’amour, simplement, qu’il te portait : il était obsédé et ça te rendait mal à l’aise. Tu tenais à lui, c’était on jumeau, après tout. Mais tu ne le voyais pas de la même façon qu’il te voyait. Non pas que ça te dégoûte, tu ne trouvais pas l’inceste immoral ; c’est juste que tu ne l’aimais pas romantiquement, mais fraternellement.  

Pour cela, il était frustré et agacé.
Pour cela, vous vous étiez distanciés.
Pour cela, tu te trouvais seule et dans le noir.

Chaque fois que tu fermais les yeux, tu te revoyais plaquée contre l’un des murs de la ruelle où vous chassiez. Ewydhien avait encore tué ta proie et tu avais haussé le ton. Il y avait du sang partout et tu ne voulais que partir, t’éloigner et t’enfermer dans un endroit où tu ne le verrais pas… où tu pourrais te détendre sans qu’il vienne pour t’étaler ses fausses excuses. Il savait très bien qu’il ne devait pas s’en prendre à TES cibles, surtout de la façon dont il le faisait. Il gaspillait tellement de ressources… Pourtant, ce soir, il avait dépassé les bornes autrement. Puisque tu n’avais pas voulu mordre ta cible pendant qu’elle agonisait, il le fit à ta place avant de te coincer contre le mur et t’obliger à boire ce sang. Il a toujours trouvé tes méthodes stupides et anormales, prévoyantes, certes, mais antinaturelles – et c’est ce que tes semblables penseraient, également. Un vampire qui ne mord pas ses proies et qui en cueille le sang… ce n’était pas normal.

Néanmoins, tu soupçonnais que son geste n’ait été qu’une excuse de pouvoir entamer un contact plus indécent avec toi. Pourquoi ? Parce que tout allait bien jusqu’à ce que tu parles des doutes que tu avais vis-à-vis de certaines personnes de ton entourage, des émotions que tu étouffais et de ton refus à t’engager dans une vie de couple – entre autres. La crise de jalousie injustifiée a entraîné les pulsions violentes de ton frère et… tout ce qui s’en est suivi. Il t’avait arraché le masque pour t’embrasser et, même après que tu aies avalé le sang à la béquée, il ne te lâcha pas. Tu ne voulais pas lui faire du mal, mais tu ne voulais pas non plus qu’il te touche. Puisqu’il bloquait tes bras et limitait tes mouvements en se pressant contre toi, tu te vis obligée de lui mordre la lèvre et le repousser à l’aide de tes pouvoirs psychiques. Ton expression était indescriptible, tu étais déçue, triste et confuse. Tu t’étais sentie trahie, d’une certaine façon et le visage à la fois contrarié et blessé de ton aîné n’arrangea pas le mal-être que tu éprouvais.

Avant qu’il n’ait pu dire quoi que ce soit, tu levas une main pour lui demander de se taire. Ensuite, tu récupéras ton masque et le remis, fuyant son regard, avant de partir sans lui adresser le moindre mot. Inutile de lui dire de te laisser tranquille, le lien empathique que vous aviez le lui avait fait comprendre : tu avais besoin d’être seule et, à contrecœur, il allait te laisser respirer un peu – du moins, ce soir. Il t’avait déjà fait comprendre ce qu’il voulait, ce qu’il ressentait et ce qu’il voulait que TU ressentes pour lui – le tout, sans produire ne serait-ce qu’un son. Cette relation que vous aviez était toxique. Son amour l’était et tu ne pouvais pas l’accepter. Tu avais besoin d’une certaine stabilité et ton frère ne pouvait pas te l’apporter. Certes, tu avais des tendances polyamoureuses, mais tu étais quelqu’un d’on ne peut plus fidèle. Lui, même s’il était sérieux à ton sujet, tu ne te sentais que comme un jouet. Il couchait avec n’importe qui, du moment que ça lui faisait envie, avait des tendances destructrices et il était plus anarchique que toi. Il n’appréciait pas la Vie sous toutes ses formes, il semblait se ficher des animaux, des plantes et de tout ce qui avait de la valeur à tes yeux. S’il ne craignait pas de te perdre, il aurait déjà mis le feu à ta clinique et au jardin, tué tes animaux et j’en passe. Il était même jaloux de ta petite famille, puisqu’il estimait avoir moins d’attention que tes bébés.

Comment pourrais-tu faire aveuglement confiance à quelqu’un comme lui ?
Il respectait ton foyer et ta petite famille, mais, pour combien de temps ?

Il avait tué plusieurs fois tes proies, il avait fait des conneries pour t’aider, il te harcelait et disparaissait parfois quelques jours pour ne revenir que plus tard, comme si de rien n’était, en frimant des fêtes auxquelles il avait été et des parties de jambes en l’air qu’il avait eu avant de tuer telle ou telle autre personne. Souvent, il mentait, et tu savais maintenant pourquoi il te disait toutes ces obscénités : pour provoquer une réaction, une émotion, en toi que tu étais incapable d’éprouver – de la jalousie. Il pouvait être vulgaire et tu ne lui en tenais pas rigueur, tu l’écoutais et tu le soutenais quand tu le pouvais… pourquoi ne faisait-il pas la même chose, avec toi ? Plus tu y pensais, moins tu y voyais clair. Tu ne voulais pas l’admettre, mais tu te portais mieux quand tu pensais être seule et ne plus avoir de famille. Imposer des distances et te débarrasser de ton frère aurait été plus simple s’il avait été un homme parmi tant d’autres – hélas, il ne t’était pas et il ne le sera jamais. Vous étiez adultes et, tôt ou tard, il faudra que vous abordiez ce sujet désagréable et délicat.

Quoi qu’il en soit, il fallait que tu te changes les idées.
Inconsciemment, tu t’étais réfugiée ici, à l’Opéra et tu n’espérais pas croiser qui que ce soit – surtout, après le couvre-feu. Même si tu avais beaucoup souffert pendant que tu étais dans le show-business, la musique était un excellent moyen d’expression. Il t’arrivait encore de jouer et chanter çà et là, même chez toi, mais ça se faisait de plus en plus rare. Tes chants, depuis quelque temps, étaient pratiquement réservés à appâter des gens, les hypnotiser ou à réduire les conflits. Mais… depuis quand ne chantes-tu pas pour t’exprimer, sans d’autres raisons ? Si tu n’avais pas entendu des voix, tu l’aurais fait ce soir, sans doute – c’était l’endroit idéal.

Muette, mais curieuse, tu regardas deux voleurs entrer dans la sombre salle, riant et jouant comme des gamins, tout en se lançant le bijou qui était avant exposé dans le bâtiment. Ce n’étaient pas tes affaires, tu n’allais pas leur prendre leur butin. Étais-tu une justicière ? Nope. Les larcins, ça ne te concernait pas, à moins qu’on touche à quelque chose en particulier. Tes propres affaires ou des effets importants qui pourraient mettre la ville en danger – des virus ou des explosifs, par exemple, et encore… En tout cas, ni l’humaine ni le méta-humain ne te remarquèrent pas directement. Ce fut la trentenaire en tenue moulante qui la remarqua en premier, sans pour autant la voir. Les voyant se préparer à une éventuelle attaque ou combat, tu pouffas discrètement.

Pourquoi cette ambiance électrique, les enfants ? lanças-tu, avec une pointe d’humour – ton jeu de mots était très douteux, mais ça t’amusait quand même. Détendez-vous, je ne suis pas là pour vous prendre votre bijou. Je vous en prie, faites comme si je n’étais pas en ces lieux.

Suite à ces mots, tu t’approchas de la balustrade de ta loge avant de passer par-dessus et sauter. Tu as atterri sur scène, sans un bruit, posant les pieds sur le parquet en toute légèreté – comme une plume qui serait tombée. Ta longue chevelure nivéenne et ta pâleur te donnaient une allure fantomatique, mais, malgré le masque que tu portais, tu n’étais pas très intimidante. Tes formes étaient généreuses, mais ton aspect était chétif et noble ; ta façon de te tenir, de parler, de te mouvoir, on aurait pu croire que tu aimais agir de façon théâtrale, mais tu étais une aristocrate élevée à l’ancienne – tu étais élégante et naturelle, ça se voyait. En apparence, qui plus est, tu n’étais pas armée – on aurait tort de te sous-estimer, puisque personne ne déambulerait aussi calmement après le couvre-feu.

Toutefois, permettez-moi de vous apprendre que ce n’est pas le bijou auquel vous vous attendiez. La différence est subtile, mais visible pour un œil avisé – surtout, qui a déjà aperçu la vraie Dame saphir. Ce sont des vraies gemmes, bien entendu, mais quelqu’un d’autre a le collier du XVIe siècle. Ceci n’est qu’une réplique ayant été conçue dans les années 80 par un orfèvre de Blüdhaven. C’est une pratique dont on abuse, à Gotham. Les humains ne peuvent pas voir la différence, à moins de faire des analyses chimiques pour dater les composants. expliquas-tu, marquant une courte pause, tout en rajustant ta tenue. Les seules âmes qui ont laissé une signature énergétique sur cette fausse Dame saphir sont celles de l’orfèvre et sa famille, puisqu’ils ont été assassinés avant que le client ne les paye. Vous n’en tirerez qu’un tiers de la somme à laquelle vous vous attendiez, mais ce n’est que mon humble avis. Ce serait beaucoup plus profitable de faire chuter l’ancien propriétaire avant de le dévaliser – dans le cas contraire, vous lui feriez une faveur. Sa famille a monté une belle fraude fiscale avec des primes d’assurance outrageusement supérieures à la valeur de leurs biens.

Même si tu papotais tranquillement, tu n'avais pas baissé ta garde...
Tu étais prête à esquiver ou t'éloigner dans le cas où on t'attaquerait.




Tenue d'Amy:


Dernière édition par Amerlyllian Die Rosenberg le Mer 26 Déc 2018 - 21:15, édité 1 fois
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)    La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)  EmptyMer 26 Déc 2018 - 19:09

Well, it fucked upUnknown vampire & Catwoman Une enfant. Je viens de me faire traiter d'enfant, par une femme de surcroit. Est-ce que je rêve ou notre interlocutrice est sacrément culotté et sûre d'elle ? En tout cas, le fait qu'elle y aille à coup de blague et de phrases chaleureuses comme si nous venions d'entrer chez elle, ne rassure ni Spark ni ma personne. Il suffit d'un regard échangé pour que nous soyons d'accord sur ce fait indéniable : ça sent mauvais. Je me décale donc avec agilité jusqu'au couloir principal pendant que mon acolyte reste dans les veines secondaires menant aux sièges. La voilà qui descend donc avec grâce et légèreté, comme si elle n'avait aucune masse. J'arque un sourcil et m'empare tout de même de mon fouet. Cette apparition me fait autant d'effet que ses phrases précédentes, c'est à dire ni chaud ni froid. Même si il est difficile de nier son côté spectaculaire. Mais bon, quand on a vu le Joker le Pingouin ou Fries arriver en grande pompe et menacer dans le feu et la glace Gotham, on a du mal à émettre un « waoh » face à ça.
« Avec une telle entrée, difficile de ne pas vous voir. »
J'ai beau la trouver singulière et irradiant d'une beauté peu commune dans ce jeu de blanc et de noir, je ne peux guère me montrer ouverte et en joie face à tant de goût. Mieux vaut rester sur ses gardes et à distance. Je secoue la tête en jetant un coup d'oeil vers Spark pour lui signifier qu'il ne faut pas faire de vagues, chose qui bien évidemment ne l'enchante pas. Il se permet d'ailleurs de grogner et bouder en me rejoignant. Ah les hommes, de vrais gosses quand ils s'y mettent.

Cependant, nous déchantons bien vite face aux explications de l'adepte des entrées théâtrales quand celle-ci nous dit que le collier maintenant en notre possession n'est qu'une simple réplique. Je suis confuse, voir quelque peu irritée de savoir la chose de manière aussi brutale. Mais nom de dieu Spark ! Tes sources ont vraiment merdé ou bien ? Je fixe mon coéquipier de vol de manière plus poussée,  scrutant ses réactions. Qui ne tardent pas. Il est blême, aussi confus mais surtout blême.
« Je te jure Catwoman. Ma source était formelle. Il a manipulé le collier !
- Tu peux lui dire d'aller voir un bon opticien. »
Ah qu'il est mignon quand il essaie de me répliquer quelque chose, sans pouvoir mettre le doigt sur le mot. Je souris pour le rassurer.
« Détends toi, je plaisantais. Il n'a juste pas connu le vrai collier. »
Ce qui veut dire que notre interlocutrice a connu quand à elle le vrai collier. Flûte. Si mes déductions sont bonnes, nous avons en face de nous une immortelle ? Je frissonne et Spark ne manque pas de le remarquer, de me prendre par le bras pour me détacher de mes pensées. Il doit vouloir savoir ce qu'il se passe. Je susurre pour le mettre dans la confidence, mais je suis sûre qu'elle nous entend. Ces créatures ont des capacités à vous donner le tournis !
« C'est une vampire.
- Sérieux ? Merde. Ça, une vampire ? Tu te moques de moi c'est sûrement une meta humaine.
- Tu es très bon pour ce qui est de voler mon chou, mais tu as encore des progrès à faire en déduction. Je t'explique. Notre charmante compagne a un teint cadavérique, s'est posée tranquillement sur les planches de la scène sans faire de bruit, est à cent pour cent sûre qu'il s'agit d'une réplique et vient de dire humains. »
Je ne suis certainement pas la meilleure détective du monde comme une certaine personne se baladant en costume de chauve souris en me jugeant sur chacune de mes actions et en m'empêchant la plupart du temps à avoir de quoi subsister dans cette ville, en faisant ce que je sais faire de mieux; mais là, même un gamin un tant soi peu éduqué dirait le mot vampire.

Je m'avance vers la scène en me dandinant, intéressée par les sous entendus, mais aussi curieuse de savoir pourquoi un vampire voudrait nous recruter pour un travail pareil. Ne sont-ils pas plus puissants et capables de faire tomber leurs ennemis que deux voleurs (certes talentueux) humains et meta humains, sans pouvoir d'invisibilité ou de persuasion ? Spark essaie de me retenir, mais je claque sa main en le fusillant du regard.
« Donc, si je comprends bien vous nous demandez de faire tomber un homme dont nous ne connaissons pas le nom. En nous suggérant de dévoiler les papiers l'impliquant dans une fraude fiscale. Mh ... et qu'a-t-on à y gagner.
Spark me lâche et fronce le nez avant de lever les bras et râler.
« Sur ce coup là tu te débrouilles seule. Ça sent le sapin et je tiens à ma peau.
- Ok alors attrape. »
Il me regarde, confus au départ, avant de comprendre que je viens de lui lancer la réplique du Dame Sapphire.
« Revends la réplique et garde les bénéfices.
- Mais ...
- Tu sais que j'ai tendance à aimer les gros poissons, Spark. Alors soit tu me suis, soit tu pars. »
Il veut rester en vie ? Très bien, mais qu'il ne se plaigne pas si jamais je gagne plus que lui sur ce coup, et sans son aide. Spark maugrée, se cache sous sa capuche puis tourne les talons en direction des coulisses. Bien. Je suis donc seule sur ce casse, ce qui m'arrange au vu des vingt millions que font ce collier. Je saute donc sur la scène pour rejoindre cette étrange vampire blanche de peau comme de cheveux et négocier avec elle les termes de notre accord. D'une voix plus chaude et vibrante, je reprends la parole :
« Que l'on soit claires. Je sens que vous avez envie de faire tomber cet homme, mais que vous ne voulez pas vous salir les mains. Malheureusement mes services ne sont pas gratuits, d'autant plus dans un cas aussi ardu. J'attends d'avoir le collier en récompense. »
Je penche la tête sur le côté en arborant un immense sourire. Cette histoire commence à me plaire bien plus que ce petit casse banal et qui finalement, ne m'aurait pas donné les bénéfices escomptés.
« Donnez moi les informations nécessaires et je suis votre femme ! »

© Crimson Day
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)    La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)  EmptySam 29 Déc 2018 - 15:36





La nuit des morts vivants.


Si ton entrée ne fut pas vraiment spectaculaire, les informations que tu avais fournies au sujet du bijou le furent - laissant les deux voleurs dans la confusion et la frustration. Catwoman ne fut pas aussi perturbée que son coéquipier, elle fut plutôt irritée d’apprendre que le fruit de leurs convoitises n’était qu’une réplique de haute qualité. Tu ne voulais pas les impresionner et, s’ils ne t’avaient pas remarqué, tu ne leur aurais rien dit du tout. Encore est-il, tu ne pouvais pas laisser passer une telle occasion : le binôme avait pris un grand soin à mener leur vol à bien et, puisqu’il semblerait que le Destin ait voulu que tu croises le chemin de quelqu’un aussi expérimenté que la femme chat - sa réputation ne t’était pas inconnue, après tout. Tu n’étais pas Batman et, encore moins,  le Sphinx, mais tu avais des yeux et des oreilles un peu partout - pas seulement à Gotham et ses environs. De ce fait, pendant qu’ils discutaient, tu te contentas de les observer, demeurant aussi muette que quiète. Et, effectivement, même quand ils se parlaient dans la confidence, tu les entendais. Qu’on ait deviné ce que tu étais et qu’on te désigne comme telle ne te dérangeait pas : tu étais un vampire, tu n’as jamais été vraiment humaine. Même du côté de ta mère, il n’y avait pas que du homo sapiens… Mentalement parlant, tu étais beaucoup plus humaine que tes contemporains, mais, génétiquement, c’était une autre histoire.

Ce pauvre Spark n’en revenait pas et, bien que la brune sembla être intéressée par tes dires, il se montra plus méfiant. Tu ne pouvais pas lui en voulais ; si tu n’avais pas eu tes dons et tu t’étais retrouvée dans une situation pareille, tu l’aurais fait également. Les ignoraient que l’un de tes défauts était de toujours dire la vérité - ou, à la rigueur, de te taire, pour ne pas mentir. Pour le meilleur comme pour le pire, si tu avais quelque chose à dire, tu le faisais en toute franchise - parfois pesant un peu plus tes mots que d’autres. Finalement, le méta-humain partit, la fausse Dame Saphir en main, te laissant avec la trentenaire.

Tu aurais pu répondre à jeune femme quand elle s’approcha de la scène, mais tu ne le fis pas. Tu estimais qu’il vaudrait mieux le faire quand son coéquipier et elle auront réglé leur différend : tu ne voulais pas décliner des informations à quelqu’un qui pourrait faire capoter tes plans. Alors, tu les laissas dans le suspens - qu’ils pensent ce qu’ils voulaient, tu ne t’en sentais pas concernée. La seule chose que tu voulais, c’était faire tomber les membres problématiques de la famille Campbell-Lewis. Puisque tu ne voulais pas l’argent ni les biens matériels de cette vermine, que tu avais déjà pris certaines dispositions pour compenser les personnes affectées par ces magouilles - si bien externes comme internes à la famille -, tu te fichais de qui emporterait le reste. Ce n’était pas le contenu d’un des nombreux coffres-forts de Richard Campbell-Lewis qui allait ruiner son héritage - il l’avait fait à lui tout seul, comme un grand, à partir du moment où il a falsifié la Dame Saphir et tué la famille de l’orfèvre, basant son empire sur la corruption, les fraudes et les meurtres. Ce ne fut que lorsque Catwoman te rejoignit sur scène que tu optas pour lui donner plus de détails sur cette affaire.  

Entendant les propos de la cambrioleuse, concernant le fait que tu ne veuilles pas te salir les mains, tu ne pus m'empêcher de pencher la tête sur le côté - dans un geste animalier et très caractéristique des oiseaux, entre autres. Tu ne fus pas interloquée longtemps, ton sourire s’élargit aussitôt, te donnant un air presque malsain - puisqu’on ne pouvait pas voir la douceur ni la tristesse que ton regard affichaient.

Détrompez-vous, mes mains sont sales depuis longtemps. Je ne vous demande pas de faire mon travail et, bien que j’aie largement les moyens de faire tomber qui je veux, je suis plus à même à attendre et trouver le moment idéal pour passer à l’acte. Notre rencontre m’a suggéré que ce moment était arrivé. Plus que vous faire dévoiler les papiers, vous-même, je vous propose de participer et, en plus du collier original, emporter ce que pourrez et voudrez du coffre de notre cible : Richard Campbell-Lewis. commenças-tu, parlant aussi calmement et naturellement.

Viser le propriétaire de plusieurs laboratoires pharmaceutiques et actionnaire d’autres grandes firmes comme les Wayne Enterprises, Shrek’s et Stagg Enterprises, n’était pas un petit coup - c’était quelque chose d’ambitieux et de risqué pour quelqu’un qui n’aurait pas des preuves solides pour prouver les crimes et accusations qu’on aurait dû lui attribuer. Tu voulais libérer les âmes qui étaient attachées au collier et que cet empire construit à la fin du XIXe s’effondre, tout comme la réputation de bienfaiteur et d’homme relativement honnête.

—  Le but est de le pousser à dénoncer à la police et à l’assurance un vol important, afin de le coincer à cet instant-là. Il ne se doute pas du fait que j’ai des preuves pour anéantir tout ce que sa famille a construit. Depuis les fraudes, jusqu’aux essais cliniques illégaux, les tests sur une partie de la population qui l’ignore ou ne peut guère s’en défendre, les magouilles sur les prix de sa pharmaceutique, les effets adverses et secondaires cachés, les empoisonnements, les meurtres, les agressions sexuelles et la pédophilie perpétrées par ses fils aînés… tout - ou presque. Peu de choses sont passées à la trappe, à vrai dire. Ses délits et négligences ne m'intéressent pas, le monde a aussi besoin de Crime et de Chaos, mais cette personne est bien trop nuisible pour qu’elle demeure impunie. Les gens le prennent pour un saint, mais nous allons montrer son vrai visage à la société. continuas-tu après une courte pause. Donc, j’insiste : vous ne vous salirez pas toute seule. Vous n’avez rien à perdre, si ce n’est un peu de votre temps. Le seul instant où je m’approcherais de la Dame Saphir, ce sera uniquement pour libérer les âmes qui en ont un lien. Ce sera ma façon de faire hommage et justice aux impuissants et aux muets.

Glenda.
Elle faisait partie des affectés.

Elle est morte dans l’explosion d’un laboratoire clandestin où des essais étaient faits.
Plusieurs cobayes et membres du personnel sont morts dans l’explosion, mais cette enflure de Campbell-Lewis avait quand même récupéré les données via le serveur auquel le réseau des lieux était connecté. Ni vu ni connu. Personne n’en a parlé, personne n’a rien trouvé, rien n’était récupérable. Et, d’ailleurs, tu trouvais les circonstances de l’incident aussi douteuses que peu hasardeuses - c’était minutieusement calculé et les médias avaient uniquement dit que c’était un laboratoire où on fabriquait de la drogue et, possiblement, des armes chimiques ou des explosifs. Tu savais que ce malheur avait été provoqué afin de brouiller les pistes que quelques victimes avaient fourni à la police, à l’époque.

Ainsi, les Campbell-Lewis ont eu l’air de martyrs, ont perçu des dédommagements astronomiques par voie pénale et de la part des assurances, ils ont détruit la vie d’honnêtes hommes de loi et de plusieurs familles dans le besoin. Ils ont autant de meurtres que de suicides dans leurs bras. Longue histoire. Très et trop longue pour être racontée, maintenant. Le ton sérieux de ta voix devint plus froid et sec, mais tu demeureras tout aussi polie envers ton interlocutrice - on sentait que tu ne portais pas cet homme et sa famille dans le cœur : tu avais de la rancune, pas de la haine. Juste une rancune qui avait aisément fermenté au long de ces vingt-sept dernières années.

Quoi qu’il en soit, même si cet homme est MA proie, je vais donner une chance à la Loi. Si on ne le juge pas convenablement, malgré les preuves et faits fournis, c’est moi qui le ferais. précisas-tu, tendant la main à ta cadette - lui proposant de signer l’accord. Si vous confirmez votre participation, dans trois jours, retrouvons-nous à l’entrée principale du Parc Robinson. Veuillez excuser ma prudence, mais, puisque les rouages sont en marche, je ne vous donnerai plus de détails qu’une fois sur place. Et, si Spark change d’idée, n’hésitez pas à l’amener avec vous. Vous aurez besoin de plus de mains pour ce coup : entre autres, il a des lingots d’or, des bijoux, quelques antiquités et de l’argent dans ce coffre-là. À savoir que, nous n’aurons besoin que de 5 minutes pour entrer et, vous, pour prendre ce que vous pourrez.

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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)    La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)  EmptySam 29 Déc 2018 - 23:22

Well, it fucked upUnknown vampire & Catwoman Au fur et à mesure de ses explications ainsi que du déroulé d'accusations à l'encontre du fameux Campbell Lewis, je ne peux m'empêcher d'afficher autant une mine contrite, qu'une mine enjouée. Certes Campbell est connu pour être l'un des intouchables de Gotham, l'ange qui virevolte au delà de ses murs auprès de sénateurs républicains conservateurs et affreusement angoissés par la question migratoire ; pourtant l'idée de le savoir pieds et poings liés au vu de ce portrait brossé et d'empocher de surcroit le vrai collier dans la foulée me donne envie de pencher pour la prise de risque. Je n'ai cependant aucune information sur le lieu et je ne peux décemment pas me lancer dans une telle entreprise en totale improvisation. Quand cette chère « justicière » termine enfin son long discours, c'est à mon tour de prendre la parole.
« Je n'ai aucun problème avec le fait de vous aider à mettre un tel salaud à terre, ma jolie mais ...  »
Je penche la tête et touche de mon index narine et lèvres.
« ... y aller totalement à l'improvisation, c'est du suicide. Je ne vole pas comme cela. Spark encore moins. Et je pense que vous le savez. »
On est certes des voleurs, mais pas non plus des idiots. Ce gars reste une grosse tête, qui certes va rouler mais cela voudra dire que je devrai prendre des dispositions plus radicales qui pourraient me causer bien plus d'ennuis avec le GCPD et les sous fifres de Sharp et compagnie. Je souris en coin.
« En tout cas j'aime votre manière de penser. J'adore les femmes qui enfreignent la loi. Je vous rassure, je fermerai les yeux là dessus si cela doit survenir. Ou vous porter assistance à ma façon. Nous sommes partenaires, après tout. »
Cette fille me plaît malgré sa capacité à rester évasive quand aux éléments qui m'intéressent vraiment. Je pense qu'elle se méfie aussi de mon autre défaut, quand je ne connais pas entièrement mes partenaires : j'ai une fâcheuse tendance à les laisser dans le pétrin et engranger le plus gros du pactole. Sauf que, je n'ai pas envie de me retrouver traquée par une vampire. J'ai déjà eu la malchance d'en côtoyer un de près et ils savent faire mal. Très, très, très mal ... et cela ne se limite pas à la morsure. Je sors d'une des poches secrètes de ma combinaison une carte sim que j'envoie vers la fille.
« Mettez ça dans un prépayé et vous pourrez me contacter. Veillez à me fournir les plans et peut-être arriverai-je à convaincre Spark de se rallier à ce projet un peu fou mais diablement séduisant. À dans trois jours ! »
Je lui fais un baiser volant, et me voilà à mon tour partie par le tunnel se trouvant dans les coulisses. Je m'empare d'un interrupteur puis, j'appuie sur ce joli bouton rouge. Et oh, magie, ou pyrotechnie, voilà toute cette jolie entrée pour voleurs se brisant et s'effondrant derrière moi, pour faire croire à un incident de gaz.

Du haut de cet immeuble je regarde au loin les véhicules faire briller gyrophares et autres petits jouets donnés à ces gardiens de l'ordre non loin de l'opéra. Au moins, les preuves de notre passage sont effacées, et en étant trop focalisés sur l'explosion ces imbéciles ne remarqueront pas de suite la disparition du collier. La seule chose qui est un peu triste sera l'annulation de l'opéra ... dommage pour Gotham, mais tant mieux pour moi.

© Crimson Day

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La nuit des morts vivants - Partie 1 (With Amerlyllian)

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