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 [Dossier 6] Le porc trop cuit [Pv: Toshiro Yamashida]

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AnonymousInvité
MessageSujet: [Dossier 6] Le porc trop cuit [Pv: Toshiro Yamashida]   [Dossier 6] Le porc trop cuit [Pv: Toshiro Yamashida] EmptyJeu 16 Avr 2020 - 15:00

[Dossier6] Le porc trop cuitChenxi Xi/Toshiro Yamashida

La flamme s’élevait dans les airs comme un grand basier, ses vives couleurs rouges et oranges peignant un tableau digne des plus grands artistes. Le dragon venait de frapper dans toute sa puissance et sa majesté pour rendre justice parmis les hommes. Le coupable, au milieu du bûcher, hurlait de douleur. Tous les passant s’activaient à éteindre le feu, ne comprenant pas qu’il s’agissait d’une punition divine et que l’homme ne méritait pas d’être sauvé. Ils jetaient des seaux d’eau sur la voiture, cherchant à en extraire le dernier passager en vie. Le chauffeur avait déjà succombé, pauvre victime collatérale de ce jugement. Au milieu de l’agitation, dans la chaleur des flammes et des hommes s’activant, une gamine s’éloignait en silence. A travers ses lèvres s’échappait le murmure d’une prière, un remerciement pour le dragon dans les cieux. Une boîte d’allumettes glissa d’entre ses doigts et tomba au sol dans une flaque d’eau. Tout était fini. Les coups, les cris, les pleurs, la peur. La gamine s’assit sur le trottoire et regarda devant elle. Une larme coula sur sa joue mais elle l’essuya rapidement du revers de sa main, reniflant la morve qui commençait à lui couler du nez. Tout était fini. Les caresses de sa mère, sa manière toujours douce de lui parler, ses calins. Trop tard, les larmes inondaient son visage. Brûler le coupable n’avait pas suffit à calmer ni le feu de sa colère ni à assécher le flot de ses pleurs. Tout était fini. Plus jamais elle ne sentirait la chaleur de sa mère la prenant dans ses bras, plus jamais elle n’entendrait le battement du coeur de sa mère. Au moins, le dragon avait retiré le privilège de vivre au coupable. Une vie pour une vie. Un père pour une mère. La gamine prit une grande inspiration et leva ses yeux inondés de larmes vers le ciel. Les nuages gris de fumée n’étaient pas encore venu jusque dans les rues alentours et le soleil s’offrait à son regard dans toute sa splendeur. Puis elle reçut une goutte sur le front.

“Mademoiselle, vous avez choisi ce que vous prendrez?
-Oui je prendrais un poulet katsu et une bière merci.”

Chenxi remercia la serveuse d’un léger sourire et lui rendit la carte avant de regarder l’heure sur son téléphone. 19h58. Plus que deux minutes à attendre et elle allait le revoir. La policière n’était pas le moins du monde étonné que ce souvenir lui soit soudainement revenu, après tout elle était à ça de mettre un terme à cette vengeance commencée il y a presque vingt ans. Dès qu’on posa la bière devant elle, la jeune femme en prit une longue gorgée. Il lui fallait un peu d’alcool dans le sang, pour le courage et histoire de ne pas mourir sobre. Tout était parti d’une autre enquête, des adolescentes parfois à peine pubères employées comme pute dans des soirées pour des riches hommes blancs. Avec la journaliste April Ruiz, Chenxi avait commencé à rechercher les politiciens et hommes d’affaires ayant fait parti de ses soirées. De son côté, en solitaire, la policière avait remonté la piste de celui livrant les gamines. Bien vite elle avait trouvé un premier nom: Toshiro Yamashita aka le dragon doré, chef de triade, celui louant les restaurants et lieux pour les soirées et dont les hommes prennaient les commandes des hommes. Seulement, un autre nom était apparu, celui du père de Chenxi, l’homme s’occupant de l’importation des filles. De simple maquereau à trafiquant d’être humain international, quelle promotion.

La porte du restaurant s’ouvrit alors que la policière recevait son plat. Vingt heure, l’heure du rendez-vous. Oh, Chenxi reconnut immédiatement l’homme venant de passer la porte. Malgré le fedora et l’écharpe cachant son visage, il avait suffit qu’elle aperçoive son regard pour le reconnaître. Tant d’années, ce regard avait hanté ses nuits. Encore aujourd'hui elle le voyait encore, ce regard brûlant au milieu des flammes. Chenxi ferma les paupières, ne le regarda pas s’assoir au comptoir par peur d’attirer l’attention. Elle prit une grande inspiration et une bouchée de son plat. Le poulet était trop cuit et le riz encore pleins d’eau. Bon sang, heureusement que ce restaurant avait le blanchiment d’argent pour arrondir les fins de mois car la bouffe n’aurait clairement pas suffit. Je pris une grande inspiration alors que la porte s’ouvrit à nouveau. Le rendez-vous de mon paternel, Toshiro Yamashita. Je glissais une main dans la poche arrière de mon jean où reposais mon arme, prête à me lever.


:copyright: Crimson Day


Dernière édition par Xi Chenxi le Sam 25 Avr 2020 - 23:13, édité 1 fois
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: [Dossier 6] Le porc trop cuit [Pv: Toshiro Yamashida]   [Dossier 6] Le porc trop cuit [Pv: Toshiro Yamashida] EmptyLun 20 Avr 2020 - 19:27

Ainsi était une journée comme une autre, une journée remplis de travail, qu'il fallait que je traite, des hommes que je devais recevoir pour écouter leurs plaintes ou encore leurs suggestions, même si j'aimais ce que je faisais, je dois dire que le métier d'Oyabun n'était pas toujours de tout repos, car la ville de Gotham réserve chaque jour un lot de surprise, parfois nous y sommes prêt est alors traiter l'édit soucis en question est assez facile, mais parfois les choses sont tellement plus compliqué que nous avons pas la réponses adéquat tout de suite, est il nous faut un peu de recul pour y répondre, mais bon heureusement que mes affaires au Japon tourne comme une horloge Suisse, est qu'il n'y a aucun soucis, car en toute honnête, je ne sais pas comment j'aurais fais pour gérer le tout entre ici et là-bas je n'aurais pas pu me découper est j'aurais du choisir, mais bon pour l'instant ce n'était pas le cas, est j'en remercie le ciel, car si j'ai "abandonné" le Japon pour venir ici c'est pour agrandir le clan dans ce fichus pays, mais aussi pour diversifié mes activités, les choses n'était ni facile ni aisé mais bon, grâce à certain de mes alliés, est des gens qui m'entoure, j'ai réussis à construire quelque chose, nous avons construit avec ma famille grâce à la sueur de notre front, de bâtir quelque chose d'important et de plus grand.

Mais quelque chose perturba mon plan dans le début de l'après-midi, un coup de fil, un de mes hommes, qui s'occupe de gérer les soirées privé m'appela pour me demanda une petit chose, car d'après ce qu'il me dit un homme enfin plutôt un contact à lui voulait me rencontrer, il me proposa de venir le voir ce soir a vingt heur au restaurant, alors que je jetais un rapide coup d’œil à mon agenda, je n'avais aucun impératif important, je confirmais donc le rendez-vous, en précisant que j'allais surement avoir un retard certain surement d'une dizaine de minute. Donc en début d'après-midi je me rendais à mes divers rendez-vous ou autre, car même si j'étais un criminelle, j'avais quand même une certaine vie actif dans le légale, nous vivions dans une époque où tout est contrôler, est c'est vrais depuis toujours, car si vous vous souvenez Al Capone est tombé à cause d'une question de fiscalité donc, je ne veut pas avoir le même destin que ce dernier. Alors que je marchais dans la rue je voyais dans la rue un veille homme que je croise souvent, il tient un petit food truck, nous pouvons lire sur son visage, qu'il était fatigué est qu'il n'en pouvait plus, mais il semblait à continuer à ce battre pour quelque chose, je m'approchais de lui avec un petit sourire.

- Bonjour comment allez-vous aujourd'hui ? Cela fait longtemps que je vous observe, est j'aimerais vous venir en aide, car vous me faîtes pensez à quelqu'un de mon entourage qui même avec un certain âge continuer à se battre pour notre famille, alors demander moi ce que vous voulez, est j'essaierais de vous aidez du mieux que je peux.

Eh oui cet homme me faisait penser à mon grand-père qui ce battait pour nous ongle et bec, même si nous manquions de rien, il avait connus des moments difficile est il ne voulait pas que cela nous retombe dessus un jour ou l'autre, alors que l'homme avait formulé sa demande, j'avais demandé à un de mes gardes du corps, d’accéder à sa requête le plus rapidement possible. Tandis que je regardais ma montre, il était déjà dix sept heure, il fallait que je me dépeches, pour rencontrer ce fameux contact sans trop le faire attendre, même si c'était moi le chef il ne fallait pas faire attendre un potentielle collaborateur ce n'était jamais bon pour les affaires. C'est ainsi que mon avant dernier rendez-vous de la soirée j'avais décider de le faire de façon assez rapide et bref, sans trop m'attarder, car je voulais pouvoir passer par chez moi pour me rafraîchir et me changer. C'est donc au bout d'une bonne heur que je quittais les lieux au lien des deux heures et demie prévus initialement, parfait j'avais donc le temps de rentrer chez moi, me doucher et me changer, j'étais dans la voiture, est je regardais le ciel de Gotham qui semblait plus sombre que d'habitude, comme si la pluie allait tomber, tandis que j'étais perdus dans mes pensées, je n'avais pas vue que nous étions déjà arrivé à destination, je sortais du véhicule pour me dirigeais vers la salle d'eau, prendre une douche express, au bout de dix petite minute, j'avais finis ma douche et de me sécher, la partie la plus importante mon habillage, pour l’occasion j'allais mettre comme à mon habitude mes habits traditionnelle.

J'optais donc pour un Kimono noir, avec l’emblème de ma famille dans le dos ainsi que mon katana donc je me sépare que très très rarement. dix neuf heure cinquante, parfait, j'aurais quand même un peu de retard mais moins que ce que j'avais prévus, direction mon fief, mais surtout mon restaurant, l'assiette de Geisha, lieu incontournable pour tout Japonais en ville qui ce respecte. Nous voilà enfin arrivé à destination, Akiji m'ouvrit la porte, est j'entrais donc derrière lui, le restaurant n'était pas trop bondé est mes deux contacts m'attendais, je m'approchais d'eux pour les saluer.

- Bonsoir, je suis l'Oyabun Yamashita, c'est un plaisir de vous rencontrez, on m'a informer que vous vouliez me voir, est bien je suis tout ouïe, car je dois dire que je ne m'occupe que très rarement de ce genre d'événement, c'est surtout mon homme de main Ado qui s'occupe des fêtes où vous semblez participer.

Alors que je regardais les deux hommes, j'observais du coin de l'oeil le restaurant.
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: [Dossier 6] Le porc trop cuit [Pv: Toshiro Yamashida]   [Dossier 6] Le porc trop cuit [Pv: Toshiro Yamashida] EmptySam 25 Avr 2020 - 23:11

[Dossier 6] Le porc trop cuitChenxi Xi / Toshiro Yamashita

Chenxie repéra l’arrivée du collaborateur dès qu’il entra dans la pièce. Il faut dire qu’il ne semblait pas chercher à rester discret. Vêtu d’un kimono noir marqué d’un large blason et un katana à sa ceinture, la policière se demanda s’il était un japonais extrêmement attaché à ses traditions ou un espèce de geek d’histoire, le genre à mater des dramas historiques et écrire des review négatives à cause d’un détail faux genre, un caractère portant un chapeau seulement inventé un an plus tard. La première proposition était sûrement possible, connaissant les japonais. Toujours si fière d’eux même et de leur culture, se croire si supérieur aux autres. Elle ne les avait jamais aimé, jamais pu supporter cette manière de regarder les autres de haut de face et à les critiquer avec tant de méchanceté derrière. Ca ne l’éttonnait pas que l’homme derrière ce trafic de gamine soit un japonais. Peut-être que son père travaille avec un mec de cette espèce? Ah, en fait non… Son géniteur était le genre de sous-merde prêt à traiter de n’importe quoi avec n’importe qui juste pour un peu plus de pouvoir. Alors la policière attrapa son bol de nouille et se leva pour se diriger vers le bar où étaient assis les deux hommes. Sur son siège elle avait laissé sa veste dont la forme semblait montrer que quelque chose était caché dessous.

‘Bonsoir monsieur, bonsoir père. Je me présente pour ceux qui ne me connaissent pas, Xi Chenxi, membre de la police de Gotham.”


Elle ne leur jeta même pas un regard. Elle ne pourrait pas trouver le courage à la fois pour dire sa pensée et pour devoir supporter leur regard. Assise à la droite de son père, elle prit un morceau de poulet et le porta à ses lèvres.  La gorgée de bière qu’elle avala après estompa un peu de goût mais pour être honnête, ce n’était pas assez pour cacher que c’était vraiment dégeulasse. M’enfin elle n’est pas venue là pour manger. Elle souhaitait seulement discuter avec le propriétaire du lieu. Oyabun Yamashimata. Elle ne pensait pas avoir ce soir affaire avec le grand chef ce soir mais ce n’était pas plus mal. Elle allait pouvoir retirer la clé de voûte et détruire toute la structure. Un sourire se dessina sur son visage tandis qu’elle levait le visage, les yeux fermés.

“J’ai remonté la piste depuis vos petites soirées jusqu’à ici, je ne pensais pas rencontrer le grand chef mais ce n’est pas plus mal. Je pensais que les yakuza avait un soit-disant code d’honneur mais au final vous êtes la même raclure que le reste. Pédo-prostitution et trafic d’être humain, c’est vraiment très mauvais.”

Elle finit son plat et se tourna enfin vers les deux hommes. Son père la regardait avec un sourire amusé et un air de dédain, cette même attitude qu’il avait toujours eu pour elle depuis sa tendre enfance. En fait, maintenant qu’elle voyait son visage, la chinoise se rendait bien compte que malgré les brûlures il n’avait pas trop changé. Cette sous-merde ne devait sûrement pas la prendre en sérieux, voir en elle la petite fille énervée qu’elle était jadis. Il allait le regretter bien rapidement. Avec les années, la colère flambante s’était changée en haine froide et la petite fille avait appris à se défendre. Non, cette fois-ci elle ne partirait pas avant d’avoir senti le dernier souffle quitter son cadavre froid. Alors, Chenxi aussi lui offrit sa plus belle expression amusée alors qu’elle sortait son pistolet pour le pointer vers son paternel.

“Monsieur Yamashita à l’origine j’étais venu pour vous, vous faire plonger pour les atrocités qui ont été commises dans vos bars. Ne vous inquiétez pas j’ai tout de même récolté assez de preuve pour vous faire plonger. Seulement, entre temps je me suis rendu compte que celui qui vous fournissait vos victime n’était autre que mon chère père. En attendant la police, je vous demanderais donc de rester calme pendant que nous discuttons. Et si l’idée de vous rebeller vous venez, j’ai laissé une bombe sous ma veste là-bas et je n’hésiterais pas à la faire exploser. .”

Avec sa main encore libre, Chenxi sortit le détonateur de sa poche. Il n’y aurait qu’à appuyer pour tout réduire en cendre. Elle prit une grande inspiration et sentit l’air traverser son corps et calmer le rapide battement de son coeur. Malgré sa haine pour les deux hommes face à elle, la policière devait garder son sang froid. Elle aimait sa vie ici, en Amérique, les amitiés qu’elle avait lié, l’amour qu’elle y avait trouvé. L’impression d’être une personne à part entière et pas simplement un outil. Bien sûr, Chenxi aurait aimé continuer sa vie ici, comme avant mais, il y avait des choses méritant des sacrifices. Le désespoir des gamines dans ses soirées avait nourri le besoin de vengeance du dragon. Oui, le plan parfait serait de cracher toute sa haine à son père, le tuer, puis envoyer l’autre en prison mais la policière n’était pas dupe. Ce soir, il lui faudrait se préparer à perdre bien des choses. Peut-être même la vie.



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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: [Dossier 6] Le porc trop cuit [Pv: Toshiro Yamashida]   [Dossier 6] Le porc trop cuit [Pv: Toshiro Yamashida] EmptyJeu 30 Avr 2020 - 18:41

Alors que j'étais arrivé au restaurant, un homme m'attendais, il ne semblait pas être Japonais, c'était un asiatique mais il n'avait pas ce petit truc, je le regardais donc dans le blanc des yeux, alors que nous nous sommes assis, l'homme en question et Ado, me fixé, alors que j'allais engager la conversation, une fille venait perturbé notre conversation, je dois dire que au début, je regardais la jeune fille en question, jusque au moment où elle ce présenta, mon visage changea rapidement de couleur, elle me salua et salua son soit disant père, bon jusque à la vous me direz rien d'anormale mais c'est quand elle ce présenta comme agent du GCPD que les choses devenait corsé, je regardais les deux hommes en question serais ce un piège pour m'arrêter est ainsi me piquer le pouvoir ? Instinctivement j'avais posé la main sur mon katana je dois dire que à tout moment j'étais prêt à dégainer pour faire de ses trois personnes des Sushi express, que je servirais à des clients le soir même, mais bon pour l'instant jouons la finement, nous verrons jusque au cela va nous mener, bon jusque à présent l'ambiance était assez lourd, mes yeux passer d'un individus à l'autre, j'essayais de voir et d'analysé leurs comportements, je devais à tout prix me sortir de cet impasse, car jusque à présent aucun force de police ne m'as mis la main dessus, est je ne compte pas me faire arrêter aujourd'hui est puis surtout à Gotham la ville la plus corrompus au monde. Mais la jeune policière repris ses paroles elle me parla d'un trafique, mes yeux plissés je ne comprenais de quoi elle parlait, quel trafique d'humain mais surtout de le pedo-criminalité ? A ma connaissance aucun membre de mon clan n'aurait osé faire cela, sous peine de ce faire tuer, mais là il semblerait que j'apprends des choses.

Je me tournais donc vers Ado, je voyais dans son regard la peur, putain d'enflure c'était donc ça son petit truc qu'il faisait depuis tout ce temps, est que jamais je n'étais convié, il risque de pas s'en tirer d'une aussi belle façon, mon regard ce posa sur lui, est je lui dit en Japonais :

- Ado, tu as osé déshonoré le clan Yamashita par tes actions, tu sais très bien le sort qui est réservé à ce genre de chose, en plus d'avoir osé défie la parole et l'ordre direct de ton Oyabun, t as attiré l'attention de ces chiens du GCPD sur notre clan, pour cela tu payeras cher, chien.

Puis je me tournais maintenant vers la petit Chinoise.

- Je penses qu'il y a un mépris, inspectrice, je ne vois pas de quoi vous parlez, je suis un riche investisseur et les deux hommes en question ont demandé un rendez-vous, pour me présenter un projet avec un plan d"investissement, est à ce que je saches il n'y a aucun mal à cela.

Je n'aimais pas du tout la situation actuelle, car pour l'instant nous étions tous dans une impasse, chacun de nous à l'heure actuelle pouvait y passer, mais il fallait que mon cerveau s'active pour trouver une solutions où je serais le gagnant dans l'histoire, car j'avais encore des belles années devant moi, mais surtout j'avais encore mon clan à dirigé, il avait encore besoin de moi, mais encore une fois comme si le drame n'allait pas suffire notre fameux agent du GCPD avait une petit bombe dans son manteau, intéressant dit donc une agent des forces de l'ordre, elle n'as aucun sens de la moral, vouloir faire péter un resto remplis d'innocent, alors que je la regardais elle semblait si sur d'elle, mais elle était remplit de colère et de rage, voilà la chose qui allait apporter sa perte, je regardais la jeune fille avec un large sourire, nous allons voir comment elle ce comporte face à ma surprise de choque, nous allons appeler mon arme secret Akiji. Je regardais en direction du serveur, j'avais instauré un code en cas de soucis comme celui-ci, après avoir fait le signale, il ne fallait plus que attendre, bingo l'homme de la situation bouscula la femme qui vola quelque mètre, dans la surprise elle fit tomber sa télécommande, je me levais donc d'un bon pour saisir le dispositif, avant de donner l'ordre à Akiji de la saisir, je me tournais vers elle, sourire au lèvre, en saisissant mon Katana, mais avant de passer au chose sérieuse, je faisais vider le restaurant,car nous allons tous avoir une discutions intéressante, bien nous étions plus que nous et mes hommes, alors que mon sumo tenait toujours la policière, les deux autres enfoirés était à genou.

- Alors comme ça vous pensez venir dans l'antre du Dragon doré, sans avoir de soucis ? Vous pensez réellement que vous auriez pu défier mon autorités sans aucun retombé ? Détrompez vous bande de chien, ici c'est moi le Roi, est au moment actuelle j'ai le droit de vie et de mort sur vous compris ? Alors maintenant nous allons reprendre les choses depuis le début, vous voulez bien ? Mais avant je vais demander à mon veille ami Ado, de bien vouloir ouvrir sa main.

L'homme en question savait ce que cela voulait dire, est avec le petit d'honneur qui lui rester, il s’exécuta, d'un geste vif et rapide, je saisis mon katana avant de lui couper un doigt, qui tomba, je m'approchais pour le saisir, avant de le mettre dans une serviette blanche, voilà donc le lourd tribut à payé pour son affront.
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: [Dossier 6] Le porc trop cuit [Pv: Toshiro Yamashida]   [Dossier 6] Le porc trop cuit [Pv: Toshiro Yamashida] EmptyDim 3 Mai 2020 - 18:20

[Dossier 6] Le porc trop cuitChenxi Xi / Toshiro Yamashita


Alors que Chenxi continuait de parler, un troisième homme les avait rejoint. Japonais il fallait croire vu les traits de son visage et le tatouage classique de yakuza dépassant du col de sa chemise. Merde, à trois contre un le jeu devenait un peu plus serré mais la policière se força à rester confiante. Tant qu’elle garderait ses doigts bien serrés autour de son détonateur, elle aurait toujours leurs vies au creux de sa main et donc l’avantage dans la situation. L’objectif n’était bien sûr pas de déclencher la bombe, n’ayant ni envie de mourir ni de tuer les quelques innocents dans la salle, mais la jeune femme était déterminée à aller aussi loin qu’il le faudrait pour que le crime paye et que justice soit rendu. Pour que cet enfoiré de proxénète et son connard de père perdent le droit de respirer le même air qu’elle. S’il le fallait, les flammes du dragon embrasserait le bâtiment avec toutes les personnes à l’intérieur.

Seulement, un premier détail vient déranger la fluide rotation de l’engrenage de son plan. Apparemment l’Oyabun Yamashita n’avait jamais été mis au courant de ce marché avec son père et des soirées organisées dans ses bars. Chenxi plissa les yeux. Ainsi le véritable coupable était cet homme nommé Ado. Qu’importe. Si cet homme croyait vraiment qu’elle allait acheter son histoire de “simple investisseure” c’est qu’il la prenait vraiment pour la dernière des connes. Même en admettant la possibilité que le chef du clan n’ait jamais été mis au courant de cette affaire en particulier, il allait faire un petit tour par les cellules du GCPD pour le prouver devant la loi, la vraie, pas celle des clans. N’était-ce pas ce qu’avait dit le procureur durant leur dernière réunion, frapper plus fort contre la mafia. Elle n’avait pas initialement prévue de suivre les demandes de Toshiro mais, si le hasard faisait qu’elle allait rendre vengeance personnelle et obéir aux ordres, la policière ne comptait pas s’arrêter par simple fierté. Non, savoir que le chef du clan ne connaissait pas le trafic se jouant sous son nez n’avait pas calmé la colère. “Je ne savais pas”, “On aurait jamais pu imaginer”, tous ces mensonges que les hommes donnaient toujours en pensant  au crime d’un de leur pairs, c’était si étrange que les femmes n’ait jamais les même mots, qu’elles sentent toujours un homme névrosé bien plus tôt. Chenxi ne voulait pas de cela, elle ne voulait pas qu’on lui sorte encore des excuses et que cet Ado s’en sorte en vie. Qu’allait-on lui faire au pire au sein du clan? Lui couper un doigt et appeler ça justice rendue. Non. Cet homme méritait la prison à vie au mieux. Sinon, elle rendrait la justice elle-même, immédiatement, et le sort serait sûrement moins doux.

Puis soudainement la policière sentit un lourd poids la percuter et sa fragile morphologie vola sur quelque mètre avant de violemment s’écraser au sol. Son crâne cogna contre le parquet dans un bruit sourd et l’image devant ses yeux se brouilla. Une seconde. Deux secondes. Trois secondes. Chenxi retrouva enfin ses esprits et voulu sauter sur ses pieds mais, il était déjà trop tard. Un homme chauve et énorme, au physique de sumo, l’avait saisi et la soulevait à présent les pieds quelques centimètres au dessus du sol, une main la saisissant par le col de sa chemise et l’autre maintenant les bras de la jeune femme dans son dos. C’est seulement là, en voyant l’oyabun Yamashita se pencher pour ramasser l’objet au sol, que la jeune femme se rendit compte qu’elle avait perdu le détenteur de la bombe durant sa chute. Merde. La situation venait de basculer trop rapidement et trop nettement. Alors elle se tordit le dos pour tenter d’enfoncer son talon dans les bijoux de famille de l’homme mais anticipant son cou, ce dernier se contenta de violemment la secoue. r. Dans ce genre de situation, la taille de la policière était vraiment à son désavantage. Si seulement elle n’avait pas été une femme, elle aurait pu se libérer bien plus facilement. Enfin, si elle n’avait pas été une femme, sa vie aurait été bien différente. Déjà, son père l’aurait sûrement fait entrer dans la mafia chinoise à ses côtés.

“Relâche moi tout de suite enflure.”

Tant aveuglé par son besoin de vengeance contre son père, la policière n’avait même pas tourné la tête pour observer le jugement d’Ado par la loi de la mafia. Qu’importe qu’un doigts ou deux lui soit coupé et que ce sacro saint”honneur “lui soit retiré”, ce jugement se serait jamais assez pour rendre justice à toutes les jeunes filles et gamines ayant été entraîné dans les horreurs de la prostitution. Elle refusait que son père s’en tire avec si peu de justice. Non, elle voulait les voir tous morts. Tous. Alors elle commença à se tordre avec encore plus de violence et hurla, prise d’une fureur comme rarement elle n’avait ressenti. Elle était à nouveau une gamine de huit ans, emplie d’une rage envers son paternel et n’ayant aucune manière de l'exprimer autre qu’en hurlant et frappant. Chenxi continuait à le regarder quand soudain une pulsion lui prit. D’un mouvement vif, elle bascula sa tête en arrière et brisa le nez du sumo. Sous la douleur, l’homme la lâcha et ainsi libéré la jeune femme se jeta sur ton paternel et serra ses mains autour du cou de l’homme. Elle serra, serra, portée par la haine et la rage dans son coeur ainsi que par la terreur qui se lisait à présent dans le regard du vieil homme.



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