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 Organic Cage : Sphinx/Silence

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AnonymousInvité
MessageSujet: Organic Cage : Sphinx/Silence    Organic Cage : Sphinx/Silence  EmptyJeu 7 Oct 2021 - 12:29

Je dédie ce RP au mouvement octobre Rose.  :hap:
Spoiler:
Organic Cage
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L'Asile d'Arkham - Salle des urgences.


Beaucoup se demande ce que peut bien faire le tristement célèbre Edward Nygma ? Nous sommes en pleine période des élections de Gotham, l'agitation dans la population est ailleurs, quand au Sphinx, il avait bien autre chose à faire que de s'intéresser à la politique , car il mener un combat certainement perdu d'avance, mais bien plus important ? Il a une tumeur du cerveau.

Savez vous ce que ça fait d'être diagnostiquer d'un cancer ? Déjà il y a la tristesse, suivie d'une incompréhension et d'une dépression. On se demande pourquoi moi ? Qu'est je fais pour attraper cela ? On se remet en question sur son alimentation ? Peut être est ce dû à la pollution ? Ou un coup du sort ? Qui faut-il blâmer ? Dieu ou le karma ? Peut importe la raison du pourquoi et comment ? Il est là et il faut vivre avec... Car pire que des murs ou les barreaux d'une prison, c'est d'être prisonnier dans son propre corps et son esprit.

Surtout que là on ne parle pas d'un organe particulier, mais le centre névralgique de la pensée humaine. Le cerveau, le centre de l'ego et de la personnalité. Ce qui fait que vous êtes vous ? .... Tout d'abords, tout commence par des mots de tête. La boîte crânienne qui vous fait atrocement souffrir. Parfois on se demande mieux si il ne vos pas mieux mourir que de vivre ainsi. Prendre un revolver et se faire littéralement sauter la cervelle, mais Edward est un type certainement dingue, mais tenace. C'est un combat intérieur à tout instant de la vie. Cela explique en partie pourquoi il n'aime pas particulièrement les gens. Cela joue aussi dans sa psychopathie.

Il se trouve finalement encore à l'asile d'Arkham, chez les dingues et les désaxés de la société. Le Sphinx est bien trop dangereux pour être dans un hôpital, car il faut le dire le gouvernement le garde à l'œil. Il se retrouve finalement dans l'infirmerie de l'asile à la salle des urgences. Le diagnostique est sévère. Lui scié l'os, lui ouvrir le crâne et lui retirer la tumeur, mais qui est assez compétent pour mener une telle opération ?

Paralyser sur la table, le haut du crâne d'Edward Nygma avait été retiré. Le Sphinx n'était pas totalement inconscient au contraire. Il crier à peine. Apres tout dans cette opération délicate, le patient doit rester éveiller pour ne pas endommager son système motrice. Mais certains des psychiatres par curiosité maligne se demander ou se trouve la source de sa redoutable intelligence. Pourtant il n'existe qu'une seule personne, qui est le maître de cette opération et c'est Thomas Elliot....

- Docteur Elliot vous dîtes ? S'exclame Nygma.

- Oh putain de merde.....


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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: Organic Cage : Sphinx/Silence    Organic Cage : Sphinx/Silence  EmptyJeu 7 Oct 2021 - 15:23


Silence, maman ... SILENCE !

Le cancer, ça rapproche les gens. Disait l'adage dans le milieu médical. On avait fait parvenir au docteur Elliot, une missive des plus importantes en provenance de l'asile d'Arkham. Un message important concernant une information sur l'état de santé d'Edward Nygma. Alias le Sphinx. En temps normal, Thomas aurait ignoré, et aurait déléguer ce travail à un autre docteur, mais on voulait le meilleur. Et cela venait aussi d'en haut, à savoir, quelqu'un de très bien placé, voulait que le Sphinx reste en vie. Une opération à cerveau ouvert donc. Thomas accepta le cas, et passa une partie de la journée à étudier le cas du Sphinx. Il avait un passif avec Nygma. Un très mauvais passif, mais peut-être que cela pourrait permettre certains petits avantages, à savoir qu'il serait possible de fixer un mouchard dans le crâne du Sphinx, sans qu'il ne soit au courant, afin de le traquer, comme une bête. Une idée qui avait déjà fait son bonhomme de chemin, et qui était, une judicieuse idée. Mais on pouvait penser à quelque chose de mieux, quelque chose de moins ... Barbare. Le cas était passionnant : Une tumeur dans le lobe du cortex. Un travail judicieux et minutieux qui allait très certainement prendre du temps. Beaucoup de temps. En temps normal, Elliot prendrait un malin plaisir à planter ses bistouris dans le crâne du Sphinx, afin de l'entendre hurler pendant des heures, et des heures, et des heures, mais peut-être qu'il valait mieux qu'il souffre encore un peu plus. Hush n'en avait pas terminé avec le Sphinx, et il ne comptait pas lui laisser la vie sauve, surtout après tout ce que Nygma avait fait. La journée se termina, et Thomas s'était isolé dans une morgue, avec quelques objets à lui, pour s'entrainer sur certains cadavres "John Doe" et "Jane Doe" afin qu'il puisse parfaire son art le jour venu. Un entrainement délicat qui nécessitait du temps, du calme et surtout, une assurance à ne pas se laisser distraire par le moindre petit bruit. Il fallait s'entrainer pour le jour J. Après tout, qu'était-ce qu'une opération médicale ? Il suffisait de sauver la vie d'un patient, le soulager d'une douleur, de quelque chose qui allait le détruire. Le serment d’Hippocrate, Thomas ne pouvait pas l'oublier. Mais Silence pourrait l'oublier, oui. Pendant de longues heures, Thomas Elliot s'exerça, dans le froid, au calme, à l'abri des regards, songeant au délicui

__________

Quelques jours avaient passé, et il était temps de préparer et de lancer l'opération. Tout se déroulerait à l'asile d'Arkham. Soit. Mais ce n'était pas du goût du docteur Elliot, qui préférait largement sa salle d'opérations à lui. On avait préparé la salle d'opérations. Tout était en ordre. Et on avait commencé à traiter le Sphinx de la meilleure des façons pour qu'il soit parfaitement à l'aise durant l'opération. Il serait donc préparé une fois que Thomas arriverait à l'asile. On était venu le chercher, dans une grande voiture noire, avec le logo de l'asile d'Arkham sur les portières. Il s'était muni de ses instruments et de sa trousse médicale, pour le rendez-vous. Le voyage en voiture ne fut pas long, et pour tout dire, Thomas n'avait pas vu le temps passé. Il avait mûrement réfléchit à tout ce qui allait se passer. Il avait mûrement réfléchit à comment il allait soigner Edward Nygma. Il s'était entrainé, dans l'optique de la grande journée. Arrivant au centre médical de l'asile, les gardes le fouillèrent, et Thomas songeait qu'il allait devoir, une nouvelle fois, aseptiser ses outils, vu que les gardes ont posé leurs énormes paluches dessus.

"Merci d'avoir salopé mes outils, j'avais que ça à faire de les nettoyer."


Avait dit le docteur, en dévisageant les gardes qui avaient ouvert sa boite de bistouris et autres objets tranchants pour une inspection. Peut-être que les normes de sécurité étaient strictes, mais Thomas était là pour faire ce qu'il avait à faire : Sauver une vie. Et pas n'importe laquelle. Celle d'un des plus brillants esprits de ce siècle. Enfin, s'il n'était pas aussi pompeux et aussi prétentieux qu'il le montrait, il pourrait être plus intéressant qu'autre chose. Mais au lieu de ça, il était devenu un criminel, en plus d'avoir un goût ridicule pour le latex. Une fois la fouille terminée, on laissa passer le docteur, qui se changea et enfila une tenue de chirurgien. Masque, bonnet, et tablier, pour éviter les éclaboussures et autres morceaux de viande qui sortiront pour sauver Nygma. Entrant dans la salle de chirurgie, on pouvait voir le manque de moyens dans la salle, qui n'était clairement pas aux normes mais qu'importe. Le patient était là, il était déjà prêt pour l'opération. Son cerveau exposé, prêt pour l'opération. Les infirmières remontèrent les gants de Thomas avant qu'il ne commence à parler. Dans le bloc des visiteurs, séparé par une cloison, on pouvait voir des silhouettes, des docteurs, des visiteurs, venus pour l'occasion, pour voir le traitement de cette maladie. Elliot n'était pas du genre bavard, et il n'était pas là pour faire un spectacle. Ce n'était pas son genre, loin de l

"Durant cette opération, nous tenterons l'ablation d'une tumeur localisée dans la périphérie du cortex. Une opération délicate, je demande donc le silence, et surtout, de la patience. Dans un premier temps, nous tenterons d'ouvrir un chemin vers la zone d'infection, puis, nous procéderons à un retrait de la tumeur. Une cautérisation de l'organe sera à prévoir. Le patient restera éveillé durant l'opération, pour éviter les pertes de points de QI, et les régressions possibles. Il serait ... Dommage que monsieur Nygma perde l'usage de sa parole, n'est-il pas ?"


Se saisissant de ses "armes" tranchantes, Thomas se préparait, tel un praticien, quelqu'un de méticuleux, à faire ce pour quoi il était venu. Remettant le masque sur le bout de son nez, Elliot s'approcha de l'oreille du Sphinx, avant de murmurer. Quel moment délectable. Il devait très certainement se faire dessus. Comme si cela avait une quelconque importance pour Thomas. Le Sphinx était un imbécile, mais il avait quand même eu la chance, grâce à lui, de découvrir qui était Bruce Wayne. L'opération allait débuter, et dans le creux de l'oreille, Silence parla.

"Ne crains rien. Tu es entre de ... Bonnes mains."


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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: Organic Cage : Sphinx/Silence    Organic Cage : Sphinx/Silence  EmptyVen 8 Oct 2021 - 18:08

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Pourquoi diable faut-il que ce soit ce psychopathe de docteur Elliot ? Il n'y a pas pire salopard que ce type dans tout Gotham. Des frissons parcoures la colonne vertébrale du Sphinx. Il n'avait nullement confiance envers ce médecin, mais a t-il réellement le choix? C'est alors qu'il entendit son accent familier.... Il tente de le rassurer... La bonne blague, ce dit Edward. Elliot a toujours était un beau parleur et un manipulateur, mais le voilà dorénavant entre ses mains. Espérons que son désire de vengeance ne piétine pas le serment d'Hippocrate. Tout le monde doit être soigné, peut importe qui il est.  Un sourire mécanique ce dessine sur le visage rigide du Sphinx et lui dit.

- Salut doc, ne vous inquiétez pas, je garde toujours l'esprit ouvert. Huhuhuhu...

C'est le cas de dire pour lui même puisque son cerveau est exposé à l'air libre. L'opération ayant commencé il ressent comme une sorte de picotement glacial, comme une lame d'acier ou un truc du genre. Edward ne peut que deviner les sensations qu'il ressent et il ne peu donc pas voir la chirurgie en place. Des tas de pensés chaotique commence à s'emparer de sa raison. Des tas de pensée n'ayant aucun lien entre eux défilent comme des images à la vitesse d'un train à grande vitesse. Un vrai trip sous acide.

Après, qui dit que ce salaud d'Elliot ne vas pas lui foutre un mouchard, ou lui paralyser un système nerveux. Il est au final totalement à sa merci. Il espère qu'il ne joue pas le docteur maboule. En pénétrant dans sa chair, et dans son cerveau si délicat. Ses membres commence à réagir sans aucune volonté de sa part. Sa mâchoire commence à se dégringoler de haut en bas.  Edward essaie de dire quelque chose :

- Unnneeee dev Y net doooooooooooooooooocteur... ???? Brrrr huuuh happdd....

Spoiler:

Soudain l'une de ses mains se libère de son entrave. Elle renverse le plateau et attrape sur le poigner d'un assistant. D'autres assistants essaient de le maîtriser pour ne pas qu'il bouge.

- bhéhééhéhéhéhoooo... Jeeee ne seeeens riien DOC !

Il n'y a pas dire jouer avec le cerveau de Nygma, c'est entrer dans un labyrinthe sans fin, ou celons le mythe du minotaure, qui est le gardien du seuil. Il attends à être libéré, pour réveiller la bête qui sommeille en lui. C'est ainsi que sans le vouloir il révèle un secret..

- ELLLIOOOOOOOOT .... Tu te souviens d'une certaine Peyton Riley ??? HAAHA...

De la bave sort, puis soudain, il perds le dont de la parole.
.
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: Organic Cage : Sphinx/Silence    Organic Cage : Sphinx/Silence  EmptySam 9 Oct 2021 - 11:27


Silence, maman ... SILENCE !

L'opération pourrait bien se passer. Du moins, en théorie, mais nous avions Edward Nygma en face, sur la table, qui n'était pas un modèle de calme. Il était évident qu'il ferait quelque chose de stupide, et c'était malheureusement ce qui arriva. Pris de surprise alors que le patient semblait réagir de manière violente dès la première entrée, le chirurgien garda son calme tout en observant avec patience, ce que le dégénéré alité était en train de cafouiller. Il parlait, très bien, mais ce n'était pas une raison pour entrer dans le jeu de ce débile à énigmes. Les choses étant ce qu'elles sont, Nygma devint vite agité. Saisissant donc le poignet d'un de ses assistants, et se libérant de son entrave, les autres infirmières tentèrent de calmer le patient qui commençait à faire une terrible réaction.

"Calmez-le ! Vite ! Donnez-lui le premier sédatif !"

Pour pouvoir accéder au cerveau et réaliser l'exérèse d'une tumeur cérébrale, il est nécessaire d'ouvrir la boite crânienne. Le geste d'ouverture du crâne s'appelle « craniotomie » quelle que soit la taille de l'ouverture. Le neurochirurgien dispose de deux techniques, une ouverture limitée, communément appelée « trou de trépan » et une ouverture large, communément appelée « craniectomie ». Et c'est cette dernière que nous avions choisit pour extraire la tumeur logée dans le cerveau de Nygma. Le premier sédatif fut envoyé dans la veine du bras de Nygma. Les premiers effets ne tarderaient pas, tandis qu'il garderait conscience, tout en continuant à parler. Mais il se calmerait, il serait beaucoup moins violent. Elliot n'avait pas prévu que Nygma se montrerait violent. C'était étrange. Il s'en remettrait. Ainsi, l'évolution d'une craniectomie est identique à l'évolution d'une fracture du crâne : la complète cicatrisation et solidification sera obtenue au bout de 6 semaines, la solidité du crâne sera identique à celle d'avant la chirurgie, le crâne pourra être légèrement irrégulier du fait de la cicatrisation osseuse. Alors que quelques secondes s'étaient passées, Elliot réintroduisit alors le scalpel dans le lobe du maitre des devinettes.

"Je n'ai pas la réponse à votre devinette, Edward, mais si cela vous amuse de parler devinettes, allez-y, peut-être que nous pourrons, avec l'équipe présente. Tenter d'y répondre. Et puis, cela vous tiendra éveillé. Et ça facilitera mon travail."

Une opération à crâne ouvert n'est pas quelque chose d'anodin. Mais c'est à ce moment qu'il parla de Peyton Riley. L'envie de jouer du scalpel dans sa boite crânienne était tentante, une simple pression sur une veine et on pourrait comprimer le sang, provoquant ainsi, sur le long terme, une nouvelle tumeur, ou une infection généralisée du cerveau. Tentant oui. Très tentant. Elliot se calma et reprit alors le travail. Minutieusement et calmement. Une infirmière en profita pour éponger le crâne du praticien, tandis qu'il observait les nombreuses facettes du cerveau humain. Dans certaines régions du monde, certaines tribus dévoraient les cerveaux de leurs ennemis, ce qui leur donnait, selon leurs croyances, la force et la sagesse de leurs ennemis. Foutaises crétines qui pouvaient très vite leur donner la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Une joie en plus de recevoir de la démence et autres hallucinations chroniques. Affection neurodégénérative principalement caractérisée par une démence et des troubles de l'équilibre. Son évolution est rapidement et systématiquement fatale. La mort est la seule issue, et c'est ce, pourquoi, beaucoup de tribus indigènes cannibales, ont fini par disparaitre de la surface du globe. Mais nous n'étions pas là pour discuter de la sphère et de la Terre, et de ses peuplades, non. Là, nous parlions de sauver un homme, un homme qui parlait du passé du docteur.

"Peyton Riley ? Il y'a longtemps que je n'avais pas entendu son nom."

Mentit-il, pour couvrir ses arrières. Thomas n'était pas un homme qui aimait qu'on parle de son passé, il détestait cela. Il détestait que l'on s'intéresse à son passif, surtout quand un minable comme Edward Nygma était au courant de certains détails personnels. Peut-être que ce minable en savait encore plus ? Cela devenait inquiétant pour ses affaires. Thomas ne savait pas à quoi le Sphinx jouait. Cette opération allait devenir de plus en plus malaisante si on s'y tenait dans ce genre de discours. S'il voulait jouer à ce petit jeu, cela n'augurait rien de bon pour la suite de l'opération. Il suffisait de garder son calme, tandis que le docteur opérait pour contribuer à la "santé mentale" de son patient. Il repéra la tumeur, qui avait bien grossit. Il était temps de préparer le retrait de cette petite infection qui le détruisait à petit feu. Une opération qui nécessitait du calme, de la tempérance, et un certain calme. Il devait être seigneur de son propre état. Gardant son calme, calmant son coeur, Thomas reprit d'une voix calme et assurée.

"Il parait qu'elle a très mal finie. Enfin, ça lui pendait au nez."

Peyton Riley. Elliot se rappelait de cette soirée chez Wayne, où elle s'était présentée à lui. Elle voulait en savoir plus sur le chirurgien, et la mère de Thomas s'était refusée à toute explications, elle ne voulait pas de Peyton dans la vie de Thomas. Mais les deux protagonistes étaient liés dans le crime. Liés dans la mort, et peut-être qu'ils étaient voués à se revoir. Parfois, le destin peut-être ironique, quand on y songe. Peut-être que le duo se retrouverait un jour. C'est ça qui serait magique, en quelque sorte. Mais qu'importe, le destin pour le moment, c'était aux gens de se le façonner, et pas autrement. Elliot ne résista pas, tandis qu'il opérait et que le patient était maintenant ligoté et bien sanglé à nouveau, sous l'emprise des calmants, Elliot reposa une question. Et une question qui pourrait être ... Hasardeuse.

"Et vous, Sphinx, toujours pas réussi à battre Batman ? Cela fait quoi de finir deuxième en permanence ?"

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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: Organic Cage : Sphinx/Silence    Organic Cage : Sphinx/Silence  EmptyMer 3 Nov 2021 - 17:18

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Le problème avec une opération sous anesthésiant, c'est bel est bien la conscience, le centre de notre cerveau. Imaginer le cerveau humain comme un gigantesque meuble sensoriel avec des tiroirs dont chaque tiroir il y a des objets équivalent à des souvenirs et divers moteur inconsciente qui font votre personnalité. La sensation n'est pas si différente que l'effet d'une drogue, ou de l'alcool, mais toute la cosmologie du Sphinx n'est pas le monde extérieur, mais son monde ésotérique.

Edward est un être multidimensionnel ce qui explique que durant l'opération il est conscient sans être conscient. Il est là sans être là. Face à la logique générale, qui est donc une simple raison, se cache la source de toute la complexité de l'un des des hommes les plus profond et les plus étranges de Gotham City. Toutes les personnes qu'il a rencontré, ont aussi une influence inconsciente dans sa psyché. Joker, Pingouin, Catwoman, Harley, Le Chapelier etc...

Ils sont tous Nygma, sans être Nygma.

Mais le monstre ayant le plus d'ascendance dans la psychopathie d'Edward, c'est bel est bien le chevalier noir : BATMAN, le plus grand détective du monde.

Le docteur Silence lui pose une question alors qu'Edward est en pleine transe? Il n'a jamais vaincu le Batman. Voilà une opinion qui ne représente pas les faits pour le Sphinx. Edward bave, mais il réussi à répondre...

- Saviez vous docteur que dans les mathématiques transcendantale une infinité de zéro est égale à 1 !!! Alors d'après vous, dans quel mesure un esprit humain peut t-il concevoir une infinité d'échelle de zéro, c'est à dire venant du chaos et de l'absolument rien puisse un jour donner naissance à une Unité qui engendre à l'échelle infini le Multi-Univers   ! Un quelque chose qui par nature existe à partir de rien... Devient le TOUT.  Mais cela ne veut pas dire qu'il y a forcément un début ou une fin. C'est ainsi que fonctionne mon esprit!

Edward se met à rire :

- HAHHEHIHOHOUUUU biiiip ..... Ma réponse est très simple Docteur Elliot, dans mon esprit, cette victoire existe aussi, parce que l'univers existe bien elle aussi, donc il n'y aura pas d'éternel second !!! Vous comprenez.. J'ai imaginais une infinité de plan qui dépasse la raison pour vaincre Batman, la question est donc :  Quelle méthode sera la bonne pour vaincre Batman... Mais je doute qu'une simple vie humaine puisse appréhender tous mes scénarios.  

Spoiler:

Un nerf fait retourner les yeux de Nygma. Il devient aveugle et perds la sensation de son corps. Il est comme  emprisonner dans une prison de chair. Il ne ressent rien plus. Sa conscience est dans le noir complet, plus d'odeur, plus de sens du touché, plus de vision, mais il reste l'audition et la parole.

- Docteur, je ne ressent plus mon corps... Qu'est ce que foutez bon sang ! Ha ha ha ha comme c'est amusant. Votre cœur est-il toujours aussi vide en ce qui concerne Peyton Riley. Cette femme vous plaît. Ah vous voulez le savoir, si elle est en vie ou est-elle morte???? Je pourrez vous le dire.
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: Organic Cage : Sphinx/Silence    Organic Cage : Sphinx/Silence  EmptySam 6 Nov 2021 - 11:19


Silence, maman ... SILENCE !

"Infirmière, calmant ! Vite !"


Le cerveau fait un choc. Lui qui n'est pas habitué à l'air et qui doit répondre à une menace qu'il ne comprend pas, est en train d'imposer un choc nerveux à Nygma. Il fallait régler ça. C'était courant dans ce genre d'opérations. Nygma devait le savoir, non ? Mais la situation revient à la normale très vite, je suis un excellent chirurgien, je sais ce que je dois faire pour lui sauver la mise, après tout ... Les minutes passent, les heures trépassent, et à force de pénétrer doucement, mais sûrement dans les méandres du cerveau d'Edward Nashton, c'était comme pénétrer dans un montre inconnu et pourtant, si familier. Atteindre un nerf est bien plus difficile qu'il n'y parait. Mais atteindre une tumeur, c'était encore plus difficile. Malgré l'examen des radios, il faut quand même avoir une très bonne vue pour localiser ce qui était un danger pour l'être humain. Le cerveau de Nygma était bien trop imposant pour qu'on le laisse mourir. Ainsi, je préfère opter pour quelque chose de plus direct, et de plus sournois. Nygma avait besoin de cette opération. L'infirmière s'occupe de lui donner un calmant, en plus. Actuellement, son cerveau fait une réaction, et ça a l'air d'être dans le bon sens de l'opération. Je me dirige, grâce à mon microscope, vers la zone nécrosée. Et je la saisis. C'est pourquoi il fait une réaction. Le domaine médical est toujours aléatoire, mais quand on sait utiliser ses armes, on peut réussir des miracles. J'étais fait pour être quelqu'un de miraculeux, et je donnerais tout ce que j'ai pour arriver à mes fins. Nygma devait vivre. Parler avec le patient dans ce genre d'opération, était nécessaire, afin de voir si je ne touchais pas aux systèmes vitaux. On peut penser que c'était une horrible façon d'opérer, mais il fallait bien le faire non ?

"Tout va bien Edward. Je suis à la zone infectée. Ce que vous ressentez est normal. Votre nerf sensoriel a été neutralisé, ce qui est normal car je ne tiens pas à l'endommager pendant l'ablation."


J'insère le mini-scalpel et grâce à toutes mes armes, tous mes outils, je me rapproche de la zone infectée avec mes outils. J'ai de quoi tout préparer. Ablation. Sutures, le travail promettait d'être assez minutieux, et je me devais de faire attention. Toujours étape par étape, ne jamais procéder rapidement, ni facilement. Il fallait aimer l'aventure, et le danger, un bon coup de pression, pour réussir ce qui doit être fait. L'ablation se fait en douceur, et je retire la zone cancérisée. Doucement, mais sûrement. Un morceau de chaire, un morceau spongieux du cerveau, pas plus gros qu'un ongle, mais capable de faire des dégâts sur le long terme. Qu'allait faire cette ablation sur le cerveau de Nygma ? Aucune idée. Et je m'en fichais. L'important était qu'il reste en vie, non ? Je prépare les sutures, le sang coule. Ce qui est normal. Mais aussi bon. Ce qui veut dire que la circulation reprend et que le cerveau est suffisamment irrigué. Il survivrait, et je me devais de refermer tout ça.

"Qu'importe la réponse, Nygma. Cette femme est morte dans mon cœur, le jour même où ma mère est morte. Pourquoi vous intéressez-vous aux fantômes du passé, Nygma ? Vous êtes plus intelligent que ça non ? Vous tournez vers le futur, c'est ce qui fait de vous quelqu'un d'exceptionnel, je me trompe ?"


Il pose des questions sur mon passé, et cela, je ne devais pas lui en donner la moindre parcelle, la moindre pensée. Il était curieux, et trop dangereux pour en savoir le plus possible. Je me devais de le freiner, maintenant, dans sa recherche de l'éternelle vérité. De l'éternelle réponse à tout. Alors que je prépare à refermer les veines et à suturer, j'insère un petit récepteur, à la base du crâne, de sorte à ce que ça ne soit pas sur les radios. Avec cela, je pourrais traquer le Sphinx, à chaque fois que cela m'amusera. Je pourrais le cogner, et lui apprendre le paiement de la trahison. L'envie de planter mon scalpel dans le crâne adipeux de ce crétin me tentait tellement, fortement. Mais je serais un bien mauvais chirurgien si je devais lui planter dans le crâne. Et je doute qu'une radiation soit ce que je désire. Gardant mon calme, je reprends d'une voix plutôt douce.

"Et à trop vouloir enquêter sur le passé, on en oublie de vivre sa vie. N'est-ce pas ? Est-ce avec le passé et la nostalgie que vous arriverez à battre Batman ? Je doute fort."

Alors maintenant, quels effets sur le crâne de l'infortuné Edward Nygma ? Allait-il devenir encore meilleur dans son domaine ? Serait-il encore plus intelligent qu'on ne peut l'estimer ? Il était temps de poser quelques questions, histoire de voir si son intelligence était encore là. Je retire doucement mes instruments, pour éviter le moindre dégât. Tout doit être fait de manière calme, de manière concise, minutieuse, pour éviter une rechute et quelque chose de dangereux. Je vais lui poser quelques questions, nous verrons si tout est en ordre de son côté. C'était un génie, après tout. Quelqu'un d'intelligent, et je verrais si j'ai fauté quelque part ou non.

"Maintenant, Edward, je vais retirer mes instruments. Je vais vous poser quelques questions. 2 + 2 ? 896 x 7854 ? Qui est le quaterback de l'équipe des Knights en 2015 ? 1776 est l'année de ? Qui a fondé Gotham City ? Qui est ... Le Batman ?"


Dis-je avec un dernier sourire. Voyons si son cerveau remarche. Tester un cerveau, cela impliquait beaucoup de questions, et puis, Nygma devait récupérer de son intelligence. Le retrait de la nécrose pourrait très bien lui permettre de reprendre du poil de la bête ? J'ordonne à l'infirmière et aux autres docteurs, de terminer le travail, de recoudre et de refermer son crâne. Pour moi, il était sauvé.

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Organic Cage : Sphinx/Silence

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