Rencontre entre le soleil levant et l'Empire du milieu

Il faisait un temps assez froid et pluvieux, un temps parfait qui correspondais parfaitement à la ville de Gotham, mais aujourd'hui étais quand même un jour particulier, car je dois me rendre dans le quartier Chinois de Chinatown, ce quartier regorge de boutique et des restaurant typiquement Asiatique continentale. Mais si je me déplace sur ce quartier ce n'est pas tellement pour la nourriture ou l'exotisme, mais surtout pour rencontrer une nouvelle arrivante, une certaine Madame Xian, venant tout droit de la Chine profonde et rurale, mais malgré tout cela, la jeune femme à su ce faire un certain nom dans le milieux du crime organisé. C'est donc pour cela je voulais la rencontrer pour l'occasion j'avais mandater mon bras droit Akiji, voir la jeune femme pour lui annoncé la venus du Dragon doré, c'est donc ainsi qu'un rendez-vous à était convenus le soir même vers vingt heures, dans son petit repaire. Pour la peine je prenais le temps de me préparé en mettant un jolie kimono en soie, en portant par dessus un jolie Yakuta. Pour la rencontre je pris une broche en or, en faisant un jolie chignon. Après une petite heure de préparation j'étais enfin fin prêt, mon cortège de véhicule m'attendais devant le restaurant, j'entrais donc dans le voiture du milieux et l'escorte s'élança à vive allure jusque au point de Rendez-vous. Après trente petite minute de circulation j'arrivais enfin dans l'antre de la nouvelle maquerelle.

Akiji, sortis premier du véhicule et m'ouvris la porte sa carrure aussi importe masquer quasiment la voiture. Il m'ouvris donc la porte et je sortis donc en m'avançant d'un pas nonchalant jusque à l'entrer, après avoir saluer le personnel je me dirigeais vers la personne qui semblais, diriger l'endroit, je me présentais donc à lui dans un mandarin à peu près parfait.

- Bonsoir, je suis le Dragon doré, est j'ai un rendez-vous avec Madame Xian, si vous pouvez m'annoncer.

En attendant le feu vert, des hommes de mains de la Matriarche, je m'assis dans un coin dans la salle, en observant les lieux, cela semblais chic sans pour autant être extravagant, avec une décoration typiquement Chinoise. C'est ainsi qu'après cinq petite minute, ont m'invita à aller rencontrer la grande cheffe, je me levais en demandant à Akiji de me suivre, est pendant que j'attendais dans le louange, il était partis chercher un coffret dans la voiture. Après quelque pas, j'arrivais enfin dans le bureau, une jeune femme m'attendais assise dans une magnifique chaise en cuire, je la regardais en m'inclinant avec un grand respect, je me tournais vers Akiji en demandant à ce dernier de poser la boite sur la table.

- Madame Xian c'est un honneur et un plaisir de vous rencontrer, cela fait plaisir de voir que des membres de notre communauté s'implante enfin dans la ville qu'est Gotham, malgré le fait qu'elle soit très dangereuse, elle offre quand même pas mal d'avantage, pour vous souhaitez la bienvenue dans votre nouvelle ville, j'ai pris la peine de vous offrir à vous une statue de Jade en signe de joie et de prospérité.

Je continuais à regarder la jeune femme avec un petit sourire, au coin des lèvres.

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M
a silhouette était prostrée près de la fenêtre. Debout, les mains croisées derrière le dos, je scrutais d’un regard sceptique la voiture qui se garait dans l’allée. Chinatown était grand, était parsemée de ruelles sombres et étroites, nous étions beaucoup d’asiatiques à la peupler. Et pourtant, cette visite de courtoisie ne passera pas inaperçue. Déjà, dans les balcons avoisinants, je décelais les ombres de citoyens curieux de voir ce qui pouvait bien se tramer chez l’amie des triades. Ils savaient que La Magnolia n’était pas simplement ce qu’elle paraissait être, à savoir un bar de strip-tease où mes filles se trémoussaient la poitrine contre les bars en fer. Mon bordel avait déjà été le refuge de beaucoups de chinois appartenant à tel ou tel gang, mais jamais je ne m’étais prononcée sur une appartenance précise. Mais les temps se compliquaient, la situation devenait complexe. Je sentais une pression sur mes épaules qui n’existait pas il y a encore un an. La porte de ma chambre s’ouvrait sur le visage angélique de Mei Lin qui m’annonçait l’arrivée de mon invité. Pour toute réponse, je hochais de la tête, le regard perdu sur l’homme qui descendait du véhicule. Toshiro Yamashita, surnommé le Dragon Doré pour des raisons qui m’étaient encore inconnues. Bien que ses origines japonaises frôlaient la discordance, nous étions de cette même souche asiatique. Son désir de me rencontrer avait soulevé beaucoup de questions, de mon côté. Venait-il réellement en paix ou ce n’était qu’une mascarade visant à me nuire dans un futur proche ? Quelque soit les idées qui découlaient de sa démarche, je lui montrerais très vite à qui il avait affaire. Je n’étais peut-être qu’une femme aux yeux de la gent masculine de mon pays, mais ici on était en Amérique, alors leur condescendance serait punie de mes propres mains. D’une manière, ou d’une autre.

Avant de quitter la pièce où mon intimité était le mot d'ordre, je jetais dans la glace un dernier coup d’œil sur mon image. J'avais lâché mes longs cheveux, raides et sombres comme les plumes d'une corneille. Les traits de mon visage resteraient impassibles tout le long de notre discussion aux caractères encore inconnus. Je ne comptais pas lui faciliter la tâche en gloussant bêtement comme le font les blanches de ce pays, c'était particulièrement navrant d'en arriver là. Vêtue d'une très longue robe en soie de couleur moutarde, je portais autour de la taille une fine corde où un tessen reposait silencieusement, attendant l'instant fatidique où il serait dégainé. Mais pour l’instant, mon divin fessier se posa sur ce fauteuil en cuir où je finissais par croiser les jambes. Celles-ci étaient visibles jusqu’à la moitié de mes cuisses, dans le seul but de laisser regarder sans qu’on ose seulement penser y toucher. Attiser le désir était, chez moi, un passe-temps que je maîtrisais à la perfection.

─ Le plaisir est partagé, Dragon Doré. Je me penchais sur le présent qu’il venait de déposer sur mon bureau. Du bout de l’ongle, je venais caresser l’objet avec intérêt. J’avais le chic pour m’entourer de richesses que j’accumulais, mais ce genre de cadeaux m’avaient été rarement faits. Le jade était une pierre robuste et tenace, très utilisée en joaillerie. Que signifiait cette offrande, pour une femme comme moi ? Dans la hiérarchie, à ces yeux, je n’étais qu’une chinoise de plus dans le quartier. Je n’avais pas de statut et ne faisais partie d’aucune mafia. C’était du moins la version officielle, car dans l’ombre je me plaisais à les côtoyer de très près sans pour autant me brûler les ailes. J’aimais mon indépendance. ─ Quant à moi, c'est de mon hospitalité dont vous vous contenterez. Je lui désignais le divan derrière lui, afin qu'il prenne place et qu'on soit plus à l'aise. J'attendais qu'il s'installa pour venir à ses côtés, toujours dans cette attitude mielleuse qui prêchait néanmoins la distance. Des verres et des en-cas nous avaient offerts tandis que la conversation allait prendre, je l'espérais, une tournure qui me mettrait la puce à l'oreille sur ses intentions. ─ Parlez-moi de vous, Yamashita. Qui êtes-vous ? Les japonais passent rarement le seuil de mon établissement sans y chercher un quelconque intérêt, alors je vous avoue être intéressée par votre visite.

Fiche par (c) Miss Amazing

J'étais donc dans le bureau de la Maîtresse des lieux, je pouvais voir une certaine méfiance émanent de sa part, chose que je peux comprendre parfaitement dans le sens où un haut membre de la mafia Gothamite viens rendre visite à une nouvelle arrivante dans la ville, elle peut voir en moi une menace dans le sens où je pourrais nuire à ses affaires, effectivement elle à raison, je pourrais bien entendus en quelque instant mettre l'établissement sans dessus dessous, mais cela n'était pas dans mon intéret, pourquoi déclaré une guerre enfin une nouvelle guerre entre Japonais et Chinois, ce temps de guerre est révolus, nous devons plutôt nous unir et marcher main dans la main pour bâtir un meilleur avenir au gens d'origine Asiatique, même si nous avons deux pays différents, nos culture peuvent ce rejoindre sur certain point. Je la regardais donc observé mon cadeau, je penses que ce dernier lui fait plaisir, elle m'invita donc à m'installer sur un divan, tout en essayant de rester neutre, je sentais encore une fois une pointe de méfiance envers moi, un sourire narquois ce dessina sur mon visage, combien de temps ce petit jeu aller durer entre elle et moi ? Combien de temps allions nous nous tourner autour ? C'est ainsi que commencer la deuxiéme partie de la soirée celle ou j'allais subir un interrogatoire, elle me posa plein de question, certaine légitime d'autre un peu moins, cela ce voyais quel voulait faire bonne impression, mais qu'elle n'avait pas encore l'habitude de rencontrer d'aussi gros bonnet.

- Eh bien Miss Xian, je suis l'Oyabun de la famille Yamashita, je suis celui qui à unis les famille asiatique de cette ville autour d'un seul et même projet. Si je devais me décrire en quelques mots, je dirais que je suis une personne qui fédère. Telle un leadeur. Sinon je suis venus faire une visite de courtoisie, je savais qu'une nouvelle personne est arrivé en ville, est cela me fait toujours plaisir de dire bonjour à mes nouveau confrères.

Je marquais une petite pause en observant de plus près la jeune femme, elle était certes fort charmante et jolie à regarder, mais dernières ses petites aires de gentille petite fille ce cache une tueuse et une cheffe hors paire, qui fera tout son possible pour atteindre son but, pour que son nom ainsi que celle de sa famille soit le plus crains et respecter. Est si je dois avouer une chose, j'apprécie ce genre de comportement car elle montre une grand force de détermination, qui va devoir la pousser dans les plus hautes sphére de la mafia Asiatique. Après avoir pris une gorgé de boisson, avec un petit sourire, j'allais à mon tour essayé de connaître la personne qui était en face de moi, car si une chose est sur dans notre milieux, mieux vaut avoir des alliées et des amis, que des ennemis qui vous tuerons à la premier occasion choisis.

- Sinon Madame Xian, quel est votre but à vous dans la vie ? Pourquoi êtes vous venus spécialement à Gotham est pas dans une autre ville ? Je peux sentir en vous une détermination féroce à prouver une valeurs auprès de nous autre, sachet une chose, le chemin de la réussite et semé d'embuche, mais celui qui à le coeur et l'esprit claire, sera ce montra digne auprès de ses semblables. C'est donc pour cela que j'annonce vous soutenir dans votre démarche, est que vous aurez mon appuis auprès de certaine petite frappe ou autre.

Je m'appuyais de nouveau sur mon fauteuil en buvant une nouvelle gorgé de la boisson servis, j'attendais avec impatience la réaction de la jeune petite chinoise tant courageuse et témaire qui est venus s'installer dans l'antre du Dragon et du Diable.

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L
e regard que mon invité de marque laissait s’aventurer sur moi était celui d’un homme sage, dont l’esprit bouillonnait déjà de la multitude d’informations que je le laissais entrevoir. Il tentait à coup sûr de catégoriser, de répartir le flot données qu’il accumulait. Rien de ce que je disais ou montrais n’était dû au hasard. Ce côté calculateur m’avait longtemps fait défaut à une époque où je ne contrôlais pas ces capacités innées mais qu’il fallait néanmoins travailler.

Alors qu’il répondait à ma question avec une modestie non dissimulée, je me prélassais sur le confortable canapé, désirant afficher un air détendu. Malgré les apparences, je n’étais pas à découvert. Mes filles étaient de redoutables combattantes, comme beaucoup de chinois originaires de Chine. Moi, j’étais vive et il ne me faudrait qu’une fraction de seconde pour contrer une attaque potentielle de sa part, bien qu’au fil des minutes qui s’écoulaient, je doutais que sa venue soit hostile à mon égard. Les hommes avaient cette fâcheuse tendance à banaliser la force d’une femme, ne mettant un point d’honneur que sur les muscles saillants et la force masculine. Mais le mental que je possédais faisait de l’ombre à n’importe quel guerrier de niveau respectable - du moins, dans mon pays. Ici, du peu que j’en avais vu, les chinois faisaient honte à leur terre natale et semblaient pour certain oublier la rigueur exigée.

─ C’est vous qui avez unis les familles asiatiques, vous dites… On vous doit donc la paix qui règne à Gotham City entre nos différents peuples. Pour cela, je me dois de remercier l’oyabun de la famille Yamashita. En espérant que cette paix prospère. Qu’on l’utilise à bon escient, contre l’homme blanc. Mon sourire s'affine. ─ Vous êtes donc à la tête de beaucoup d’hommes, une figure importante. Pourquoi venir ici sans protection ? Je ne suis peut-être pas une partisane de la paix, pourquoi prendre un tel risque ? soufflais-je sans l’ombre d’une menace, déliant mes jambes découvertes des pans de ma robe. Je me disais que s’il s’aventurait autant en zone périlleuse, c’était soit qu’il était aliéné, soit qu’il avait de bonnes raisons de ne pas me voir comme une ennemie. ─ Si je puis me permettre, pourquoi avoir uni les asiatiques ? C’est parce que l’homme blanc est bien plus une menace et qu’il serait stupide de s’entretuer ? Car c’est la chose qu’ils attendent de nous, qu’ils considèrent comme des bêtes. Ils nous voient comme des cafards, des sauvages qui vont se dévorer les uns les autres. Si je ne m’étais pas faite une place dans la société, c’était parce que les occidentaux m’avaient rejetée à chacune de mes tentatives. ─ Vous êtes en tout cas le premier à venir me considérer de la sorte. Pour cela, Dragon Doré, je vous remercie. Les étincelles décelées dans ses yeux me laissaient penser qu’il m’analysait, cherchant à déceler les détails de ma personnalité ou de mes pensées, tous enfermés dans une boîte au fond de mon jardin secret.

─ Je ne suis affiliée à aucune Famille, Yamashita. Je ne suis que la maquerelle d’une maison close, où les informations circulent pour les plus offrants. Je n’ai signé allégeance et fidélité à aucune mafia. Je ne sais pas encore ce qui vous mène à penser que je puisse être utile, si telle est votre pensée. rétorquais-je en haussant les épaules, sans me démunir de l’espièglerie qui se dessinait sur mes traits fins.

Elle semblait si sur d'elle, j'apprécier son côte sûr et téméraire, mais il fallait que la jeune femme fasse aussi attention, car malgré tout cela, la ville de Gotham est dangereuse et sans scrupule, il faut donc placer ses pions de manière réfléchie, car comme je le dis, cette ville offre rarement de deuxième chance, mais bon nous ne pouvons pas lui en vouloir de rêve et de vouloir percer dans un monde très masculin, qui en plus de sa culture la place vraiment au plus bas de l'échelle, bonne que à faire des enfants, garder la maison, et surtout satisfaire et rendre fière son mari, voilà la vie donc lequel certain de ses congénères la voit. Puis la jeune femme continua en cachant à demi mot sa sympathie envers les Européens, comme quoi nous avions la paix pour mieux contrer l'impérialisme qu'ils savent faire preuve.

- Miss Xian, ne vous montrer pas aussi hostile que cela, l'homme blanc est certes parfois cruelle, mais nous sommes plus malin que cela, nous devons donc travailler main dans la main entre nous, pour faire tomber du pied d'estalle sur lequel tous nos ennemis ce sont mit, mais pour cela nous devons agir avec prudence et intelligence, car il en faut beaucoup pour réussir mais très peu pour tomber dans l'oublis.

Puis la jeune femme continua sur une note, qui me fit bien moins sourire, elle m'expliqua que j'étais une figure importante du milieu est que c'était peut-être imprudent de ma part, de venir ici sans protection, elle voulait peut-être ma mort, je me levais , en la regardant dans les yeux avec un petit sourire, car je n'étais pas arrivié là où je suis aujourd'hui si je n'étais pas ce que je suis, prévoyant.

- Xian votre remarque pourrais être perçus par un autre chef comme une provocation, ou comme une menace, pour cette fois ci je ne vais pas vous en tenir rigueur, mais je dois vous dire une chose, votre manège est très subtile, provoquer pour que je vous donnes mes moyens de protection, je dois dire que cela est habille Miss, mais pas assez avec moi, ne l'oublier pas je suis un Oyabun expérimenté.

Je me réinstaller dans mon fauteuil en prenant une gorgé de boisson, toujours avec ce sourire au coin des lèvres, je sentais aussi une colère immense de la jeune femme envers les blanc aurait elle subit une mauvaise expérience ?

- Je vois que vous n'apprécier pas beaucoup les Européens, alors je vais vous dire une chose, il faut savoir, analysé et agir au bon moment, comme disait mon grand-père : Il n’est pas de plus grande force que la maîtrise de soi.

Puis la jeune femme me remercia de la considère de la telle car cela était une première, ses mots ne m'étonné guère, je savais comment était mes semblables surtout envers les personnes de sexe féminin. M'enfin cela n'était rien, les temps change et les mentalités aussi, puis viens le moment où la jeune femme m'expliqua quel n'avait ni Dieu ni Maître, qu'elle ne travail pour personne et que son seul but et de vendre des informations au plus offrant, elle pensait n'être point utile.

- Anh, vous vous prenez la tête pour pas grand chose, vous le savez ? Je veux faire de vous une égale auprès de moi et nos semblables, nous devons travailler ensemble main dans la main, vous pouvez avoir des informations donc j'aurais besoin, et vous avez besoin de soutient, pour gravir les échelons de notre monde. Donc au lieu de ce méfier mutuellement, pourquoi ne pas construire ensemble de quelque chose d'encore plus grand ? Sachet une chose je ne suis pas votre ennemis ici.

La jeune asiat pouvait voir que les traits de mon visage ce sont durcie.

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A
gir avec prudence et intelligence, disait mon invité de marque. Bien sûr que nous allions user de nos neurones contre la suprématie blanche, c’était évident. Ils étaient si bien installés, le cul sur leur siège rembourré, qu’ils ne sentaient même pas ses tremblements sous terre. Menaçant et témoignant de la colère de tout un peuple qui contribuait au bon fonctionnement d’une nation entière. ─ Ne vous inquiétez pas de mes états d’âme, Dragon Doré. Je sais quand il est opportun de lever le voile ou non. L’esquisse de mon sourire disparaissait en même temps que je portais la tasse à mes lèvres. Voilà un sujet bien trop sérieux pour deux inconnus qui se jaugeaient pour la première fois. Ne faisais-je pas là une immense bêtise en dévoilant la glace avec laquelle je portais les américains natifs dans mon coeur ?

─ Sans vouloir vous offenser, Oyabun, je compte me hisser par moi-même à la place que je jugerai méritante. Je n’ai absolument rien contre le fait qu’on me tende la main, mais… Ce silence qui suivit ces quelques mots me pesaient. Ils me donnaient des bribes de souvenirs dont je n’aimais pas qu’ils me reviennent aussi brutalement à l’esprit. Les remontrances du paternel, les conseils avisés des amis masculins de la famille qui me tapotaient l’épaule en riant lorsque je disais que moi aussi, j’allais diriger des combattants. C’était ces petits gestes malintentionnés qui m’avaient fait du mal, me nourrissant en parallèle de cette colère. J’en voulais autant aux chinois qu’aux occidentaux. … J’ai appris à me débrouiller seule. Toshiro Yamashita avait beau avoir des paroles rassurantes et qui se voulaient bienveillantes à mon égard, je n’en restais pas moins sur mes gardes. En vérité, j’attendrais de voir sur le long terme s’il était du genre à retourner sa veste.

─ Je vous propose une simple alliance de paix, pour l’instant. Nous verrons si nous avons une même vision de l’avenir, si nous souhaitons les mêmes alliés. Je suis une femme d’affaire, Oyabun, et vous risquez de ne pas toujours être en accord avec mes faits et gestes. J’aime parler en terme de rendements, d’argents, de statistiques, de bénéfices. En toute chose, j’arrive à voir ce qu’il pourrait m’apporter. Je buvais une gorgée, laissant le temps à mon interlocuteur de comprendre où je voulais en venir. ─ Si vous êtes prêts à étendre ma clientèle, par exemple, je suis toute ouïe. Je haussais les épaules, l’air innocent. J’étais une opportuniste, mais on ne pouvait pas me traiter d’égoïste ; tout ce que je possédais revenait aussi à mes protégées. Mes employées profitaient chacune de ce qui m’était due, je ne gardais rien pour moi, dans un coffre scellé. ─ Qu’est-ce que vous en dites, Dragon Doré ? Vous pourriez vous aussi goûter aux plaisirs qu’offre ma maison. Un avant-goût, tout du moins, qui vous satisferait… Jusqu’à la prochaine fois.

Voilà qu'une discutions intéressante c'était mis entre la Maîtresse des lieux et moi, malgré le fait qu'elle n'apprécias guère, les blancs, je ne pouvais lui en vouloir pour l'instant car je savais qu'une fugue l'habitait et qu'elle voulait surement renversé tout cela, mais bon malheureusement la vie n'était pas faite ainsi et parfois il faut savoir reculer pour mieux rebondir et sauté. Je continuais à regarder la jeune femme présente devant, je pouvais voir en elle sa rage de vouloir tout réussir seul, et quand je lui avais proposé mon aide, elle avait décliné de façon plus au moins polie, un petit sourire s'affichais sur mon vieux expérimenté, c'était tout à fait louable et honorable de vouloir ce débrouiller seul, mais malheureusement, le milieu qu'elle vise, ne lui fera aucun cadeau, un pas, ou un mot de travers et ne risquerons d'être entrainer dans un bain de sang.

- Miss Xian, je respect totalement votre choix, de vouloir vous débrouiller seul et ainsi donc vous hissez en haut du sommet, sachet que si vous avez besoin de mon soutient, je pourrais vous appuyer à votre demande, mais n'oubliez pas une chose Miss, Chinatown est un petit quartier remplis de gros requin, même si je ne m'inquiète pas une seul seconde pour vous.

Je m'appuyer un peu plus sur le fauteuil dans lequel j'étais déjà installer, ce petit entretient tourner vers quelque chose de très constructif du moins je le pensais. Pour l'instant la jeune femme ne voulais qu'un simple alliance, car selon elle, nous n'aurions pas souvent les même opinions car elle avait une vision assez capitalise parfois, intéressant car bien entendue si nous étions tous dans la même façon de voir et pensées alors ceci serais bien triste, je regarder autour de moi et je savais que j'étais loin de mon pays et des miens, que ce pays avait une autre façon de ce construire, mais la force d'un bon chef est de savoir s'adapter en toute choses.

- Vous aimez les chiffres ? Alors que moi j'aime l'histoire, même si ceux que vous dites est très intéressant bien entendue que tout chose doit avoir un certain rendement et une utilité, mais avant tout nous devons montrer une union historique et non économique entre nos deux peuples, nous devons être la base solide d'une nouvelle ère Sino-Japonaise.

Mais la jeune femme était très intelligente et maligne elle savait ceux que je voulais et me proposer donc d'avoir des infos de la part de certain de ses clients, pour moi ceci serais une mine d'information sérieuse et non négligable, est je penses que nous pourrions trouver tout les deux, une source d'entente réel, puis la jeune Asiat, essaya de déployer son filet sur moi, en me proposant un service qui pourrais me plaire et me mettre en bouche jusque à la prochaine fois, je dois dire une chose j'étais très intrigué par ceux que la jeune Chinoise voulait dire par cela.

- Bien entendue cela pourra me convenir Anh, mais maintenant je dois dire une chose, je suis intrigué par votre proposition que pourriez vous m'offrir d'aussi alléchant et intéressant qu'une Geisha ne pourrais pas m'offrir déjà chez moi ? La Maîtresse des lieux aurais donc quelque chose de secret spécialement pour moi ?

Un large sourire s'affichais sur mon visage, tout en continuant à la regarder en me redressant légèrement main posé sur mes genoux.

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