Le 7.62 est le nouveau noir (Libre tout criminel) (Novembre

Le 7.62 est le nouveau noirLibre criminel
Disclaimer : Il se peut qu'on soit beaucoup. Donc faites votre entrée de la taille que vous voulez. Pour le reste je vous demanderai de faire un maximum de 600 mots. Pour la fluidité de l'action et le confort de tous. Merci

Dès que la nuit tombait et que la lune entamait sa course effrénée dans le ciel étoilée, la ville de Gotham city revêtait son habit maudit et la lie de la société sortait de son nid. Paige faisait partie de ces spectres qui hantaient les rues Gothamites et ce soir elle allait se mêler aux animaux de son espèce : les criminels. Depuis cette nuit d’Octobre où le firmament de Gotham était coloré de rouge et de flammes, que dans les rues résonnaient cris de terreurs et violence primaire, depuis cet évènement que les journalistes nommaient affectueusement La nuit de l’enfer, les criminels de tout poils et de toute conditions désiraient désormais la même chose : s’armer en cas de réminiscence de cet évènement. Pouvoir faire face à cette crise qui menaçait autant leur ville que leurs affaires. Avoir les justiciers en collants et la police était une chose. Qu’un outsider vienne en une nuit mettre un bazar monstre, infiltrer des tanks, tuer un présentateur en direct, s’en était une autre et nombreux étaient disposés à ne pas se laisser faire.

Ainsi s’organisait en catimini une vente d’armes, caché des yeux indiscrets, dans les docks labyrinthiques de la cité portuaire. Nombreux y avait à faire et pour Paige son désir était de tout bêtement obtenir des armes à feu sans avoir à passer par les biais légaux, pour des raisons relativement évidente de traçabilité. Elle avait son prochain assassinat en tête : Albert Trivett. Le grand patron d’un magazine féminin de mode. Ce dernier l’avait porté au nu comme une Vénus et traîné dans la boue comme la dernière des souillonne. Cet homme était l’incarnation du mythe de Cendrillon. Il faisait et défaisait les carrières par des campagnes médiatiques agressives et sans pitié. Créait une ambiance poisseuse dans le milieu comme un propriétaire terrien faisant la traite des blanches et achetait ses égéries comme on achète un steak au supermarché. Et pour Calendar Girl la mort de Trivett arrivait bientôt et pour une raison très simple. Le vingt novembre cela allait être son anniversaire. Et quoi de mieux qu’un cadeau mortel pour un porc de son acabit.

La nuit de la vente elle s’était apprêtée pour l’occasion. A la manière d’une femme de bonne famille qui s’en allait chiné dans une brocante elle s’était toute vêtue de rouge en tirant un caddie à roulettes. Un béret à pompon surmontant sa tête bien faite couronnant sa longue chevelure noire, une grosse écharpe en laine à motifs écossais pour couvrir sa gorge, ainsi qu’un long manteau rouge au col rabattu doublé de fourrure, la taille cintrée, fermé par des boutons dorés. Gantée de blanc et portait sous tout ceci une robe noire échancrée avec de beaux escarpins d’un noir brillant. Un mélange relativement étrange qui ne passait pas inaperçus au milieu des criminels et des folles furieux que Gotham City couvait en son sein.

Paige voulait être l’une d’eux. Ses trois meurtres, spectaculaires, correctement relayés par la presse étaient ses tickets d’entrée. S’avançant de stand de trafiquant, en stand de vendeurs illégaux, son choix semblait infini. Indécise et surtout débutante dans ce monde fait de balles chemisées métal, elle ignorait quoi choisir. Elle portait un index sur les lèvres de son masque et relevait la tête vers un trafiquant qui semblait mal à l’aise, ignorant s’il devait la conseiller ou lui demander de partir.

:copyright:️ 2981 12289 0

Le Criminel

Quelle poisse ! Bientôt Noël et le Joker était privé de cadeaux. Pas de sapin dans la cellule, pas de cadeaux dessous, et surtout, surtout, pas de chants de Noël, c'était d'un triste. L'asile d'Arkham dirigé par le Docteur Arkham avait interdit tout signe ostentatoire de religion, pour éviter que les patients ne se mettent en état d'excitation pour les fêtes. Quelle tristesse ! On avait même doublé les doses des médicaments, médicaments que le Joker recrachait et refusait de prendre. Après tout, Noël, ça n'arrive pas tous les jours, et c'était pourtant bientôt. Mais cette fête de joie, de bonheur, de tranquilité, de moments en famille, jamais le Joker ne pouvait les comprendre, après tout, il n'avait aucune famille autour de lui. Contrairement à 99% des pensionnaires de l'asile, le Joker était le seul qui n'avait jamais aucune visite pour ses anniversaires (si tant soit qu'ils existent) ou pour les fêtes de fin d'année. Jamais personne ne venait le voir, et parfois ça pouvait le déprimer pendant cinq secondes, et il pouvait en avoir rien à faire les cinq secondes suivantes. Lunatique dans l'âme, quand tu nous tiens ... Mais cette année, le Joker avait envie de se trouver une petite famille. Une petite maman à aimer, une soeur à embêter, un papa à emmerder, et bien entendu "Toby" le petit chien à caresser ! Et bien entendu, il rêvait d'une énorme dinde de Noël en famille, arrosé d'un bon verre de vin bien français. L'idée lui plût. Mais Noël était encore un peu loin, et il se décidait, qu'il fallait préparer quelque chose de festif, de parfaitement coordonné. Cette année, alors que normalement, il devrait être dans sa cellule, le Joker était libre, parfaitement libre et en dehors d'Arkham. Le Batman semblait parfaitement absent ces derniers temps. Peut-être un problème de chauve-souris qui sait ? Le moment idéal de préparer la grande parade de Noël qui devrait bientôt venir. De retour à l'acierie Sionis, il méditait à un nouveau plan pour Batman à Noël. Qu'allons-donc nous faire ? Une valse endiablée sous les flocons avec le Chevalier noir ? Faire avaler une dinde piégée à la nitroglycérine au GCPD ? Refaire un cantique avec les organes des enfants de la cathédrale de Gotham ? Tant de plans géniaux qui méritaient clairement d'être faits. Tant de choses à faire et si peu de temps pour les orchestrer. Il méditait son plan, et il avait besoin d'armes. De beaucoup d'armes pour organiser sa grande fête de Noël. Au retour de l'aciérie Sionis, le Joker avait médité pendant quelques instants à ce que Gotham City allait devenir : Une ville en effervescence avec l'arrivée de la Legion of Doom à Gotham. Et des cinglés qui allaient se déverser dans Gotham City avec une folie furieuse de tout casser, mais était-ce réellement le plan conçu par le Joker ? Le Joker réfléchissait, et c'était certainement pas la meilleure des choses selon lui, trop de réflexions pour quelque chose qui aurait dû être réglé depuis un petit moment. Une vente d'armes avait lieu à Tricorner ce soir, et le Joker se devait d'y être. Il devait observer et voir si les armes pouvaient être du bon accabit pour ses plans démentiels. Toujours sans sourire, il prit la Jokermobile avant de se rendre dans ce quartier poissonneux. Quelques minutes passèrent et le Joker arriva à bon port. Un gamin trainant là, fut accosté par le Joker.

"Hé gamin, garde-moi la voiture, et je te promet que tu gagneras vingt dollars."

Gamin : "M-m-m-mais vous êtes le Joker ?"

"Le quartier craint et c'est une belle voiture."

Gamin : "M-m-m-m-mais vous allez me tuer !"

"Gamin, je ne tue que quand c'est drôle. Où serait la blague si je venais à te tuer ?"

Il ne riait pas, il ne riait toujours. Il n'y arrivait pas, et son visage était toujours aussi sérieux. Toujours trop sérieux ... Toujours sans sourire, le Joker quitta le garçon avant de pénétrer dans le lieu des transactions. Du beau monde, beaucoup de gens de la Pègre. Caché sous un habile chapeau et un grand imperméable violet, le Joker commençait à marcher paisiblement entre les quelques mondains du crime qui se trouvaient dans l'endroit. Il s'attendait à voir quelque chose qui sorte de l'ordinaire, et qui, avec un peu de chance, pourrait le faire sourire. Peut-être ...

"See no Evil ... Hear no Evil ... Scars tell Stories."
Le 7.62 est le nouveau noir (Libre tout criminel) (Novembre 9qek

Musique à écouter durant la lecture du RP hug

Spoiler:

The Baddest is back Tricorner Yards, Gotham City.Le 7.62 est le nouveau noir - Criminels •••
Cela faisait un bon moment que je n'étais pas revenu à Gotham, enfin pas depuis que j'avais vécu cette putain de soirée de merde face à des ergots à la con.. j'avais du me retrancher chez moi et m'en aller avec Pamela au Costa Rica en attendant que toute cette histoire se tasse, surtout que j'avais volé quelque chose que les criminels et les organisations bien pires convoitaient. La fiole qui contenait un liquide qui pouvait transformer les gens en créatures surpuissantes étaient désormais entre mes mains et en sécurité dans un lieu qui resterai encré dans ma tête et ça même si on me torturait à mort. Mais enfin me voilà de retour dans cette ville répugnante et je comptais bien faire parler de moi à nouveau afin que tous les criminels sachent que je suis de retour et en pleine forme pour les exécuter sans scrupules ! Je chevauchais donc ma nouvelle bécane et me dirigeais avec ma nouvelle armure en direction de Tricorner Yards, apparemment il y avait une vente d'arme ce soir et j'étais à court de nouveautés.. vraiment, s'ils pensaient que j'allais payer ils pouvaient se foutre le doigt dans l'oeil et je n'allais pas hésiter à prendre des armes de force. Si quelqu'un tentait de se mettre en travers de mon chemin je lui collerai une pépite entre les deux yeux et jetterai son cadavre à l'eau, mais ce n'était pas le moment de penser à ça vu que de tous les gros pontes de cette ville, je n'en craignais aucun.. il ne fallait que je parte inquiet mais simplement sur mes gardes afin que si je croise une connaissance je sache comment la gérer. Une fois arrivé je retirais doucement mon casque, je m'étais mis à l'écart comme d'habitude pour être le seul à dominer les lieux, j'enfilais mon masque noir et orange emblématique alors que je contrôlais une dernière fois le nombre de munitions que j'avais dans mes deux calibre 50 modifiés, apparement c'était suffisant, je m'engageais donc à l'abris des regards en direction de la vente d'arme en grimpant sans trop de problème afin de trouver un perchoir assez haut pour ne pas me faire voir et surtout qui surplombait le tout.

Bien évidemment je n'allais pas les laisser faire leur petit commerce très longtemps puisque j'activais quelques brouilleurs d'armes qui étaient présents sur mon armure et qui me permettait lorsque j'étais devant eux de les lancer afin de bloquer leur mécanisme.. c'était un petit cadeau que j'avais pris à Batman lors de nos derniers affrontements.. aller, c'est partit, je bondis en lançant une balle fumigène me trouvant automatiquement au milieu de se bordel me plaçant doucement derrière la seule jeune femme qui s'y trouvait pointant le canon de mon arme sur sa tempe alors que je pointais le reste des guignols de l'autre main avec mon second pistolet.

•• Slade Wilson : Bien.. tout ça va se dérouler en deux temps, vous me laissez les armes et vous foutez le camp. Dans le cas ou vous voulez jouer les héros je vous envoi tous saluer Saint Pierre.

Bien-sûr je ne connaissais pas Paige Monroe que je menaçais avec mon arme, cependant, je m'aperçu de la présence du clown prince du crime.. sauf qu'il n'était pas comme d'habitude, donc ce fut lui ma seconde cible que je pointait du canon de mon autre arme en priorité.

•• Slade Wilson : Papa est de retour, tête de con.

:copyright: 2981 12289 0

Le 7.62 est le nouveau noirLibre criminel
L’arrivée du Joker créait un émoi fantastique. Le monde entier semblait soudainement retenir son souffle, les chairs de poule et les poils se dressaient d’effroi. C’était beau et vivifiant. En voyant pareil légende terrifiante, Paige posait une main sur son ventre. Elle sentait quelque chose, une douleur aigue comme si ses tripes et son estomac lâchaient dans son corps leur sucs pour dissoudre ses chairs et prendre la fuite. Elle sentait, ressentait, une émotion ! C’était beau, comme dans un rêve à tel point que la joie se mêlait à cette terreur de tout le corps. Sous son masque, elle sentait sur sa peau craquelée des larmes nerveuses couler le long de ses traits. Elle se jurait qu’elle irait le voir en partant. Peut-être que son masque si reconnaissable, ses faits si médiatisés, allaient l’attirer vers elle. Un fantasme dément de petite fille l’habitait mais elle devait revenir à ses emplettes.

Son masque sépulcral revenait face au vendeur qui devenait livide par la présence des deux fous furieux. L’ambiance globale prenait une tout autre couleur. Loin d’être festive, la vente était sérieuse et feutrée. Désormais, l’on n’entendait guère plus que des chuchotements effrayés. Personne n’osait faire de bruit. Les gestes étaient délicats, précautionneux. Ne pas attirer l’attention, faire ses ventes et filer. Paige vérifiait des pistolets mitrailleurs Mac 11. Des armes hors d’âge, qui faisaient la marque de fabrique de tout les méchants dans les films d’action des années quatre-vingt. Elle semblait apprécier l’arme, pour sa légèreté, son caractère compact, mais aussi pour les caractéristiques techniques que le vendeur lui chuchotait du bout des lèvres. Cadence de tir élevée, faible recul dû à une munition peu puissante, l’idéal pour défourailler dans le tas à condition d’être proche. La Fantôme masquée esquissait un sourire douloureux, faisant tirer ses points de suture encore frais. Elle posait délicatement, presque avec amour, l’arme à feu caressant le métal froid du bout de ses doigts. Elle montrait deux doigts au vendeur.

"D-deux ?" Répliquait il, fébrile, sous le hochement de tête affirmatif de la tueuse. Il énonçait un prix avant de sembler se tétaniser sur place. Devant si blanc, si livide, qu’on croirait un mort. Paige, quant à elle, sentait un canon froid se poser sur sa tempe et appuyer contre sa peau. Était-elle mise en joue par un tier ? Sans aucun doute possible. Elle se tournait vers le propriétaire de l’arme, plaçant l’affut entre ses deux yeux, observant très longuement DeathStroke pour la toute première fois. Qu’il était beau, grand, et effrayant de si près ! Lentement, elle portait une main à sa bouche, comme pour singer un sentiment de surprise. Allait-il tirer ? Allait-il arracher Paige à l’enfer qu’est ce purgatoire terrestre ? Ce serait fabuleux… en finir, ici, et maintenant. S’il devait tirer ce ne serait pas là, pas à la tête. Avec des gestes d’une lenteur infinie, d’une délicatesse virginale, comme si elle se retrouvait dans un moment d’une rare intimité ; elle portait la main sur l’arme. Sans chercher à le désarmer, ni rien, elle fait descendre le canon de l’arme jusqu’au niveau de son cœur. Oui, s’il devait tirer, l’abattre, cela devait être là ! Ici et nulle part ailleurs. Elle espérait, au fond d’elle, qui allait presser la détente. Elle se voyait déjà sentir la fureur de la détonation, le fer assassin tailler ses chairs en une entrée chirurgicale pour une sortie en fanfare.

A côté, le vendeur restait immobile, comme pris d’une soudaine pesanteur. N’osant pas savoir comment réagir. S’il devait emballer les deux armes, les chargeurs et les munitions, ou s’il devait prendre ses jambes à son cou.

:copyright:️ 2981 12289 0

Le Criminel

Les armes proposées par les vendeurs sont intéressants, et malgré son camouflage évident, le Joker se sentait parfaitement reconnu par l'ensemble des gens avec qui il discutait. Il s'en fichait. Il observait, il cherchait le petit truc qui ferait tilt, qui l'emmènerait sur quelque chose d'amusant et de terriblement loufoque pour égayer ses plans contre le Chevalier Noir. Mais rien ne vint pour le moment, tout était trop classique, trop habituel, et le Joker sentait qu'il perdait son temps dans cette vente d'armes des plus miteuses. Mais voila alors que l'élément perturbateur fit son entrée. Pas Batman, non. Quelqu'un d'autre de plus coloré et de plus orange. Et il semblerait qu'il soit en pétard celui-là. Qui ne l'était pas en face du Joker après tout ?

"Deathjoke, tu tombes à pic, comme toujours."

Malgré son trait d'humour et son calme face à l'intervention musclée de l'homme en armure, le Joker ne riait pas, il ne souriait pas. Il observait patiemment l'homme qui se trouvait en face de lui. Deathstroke. Un criminel de la pire extraction, une machine à tuer, un monstre, une ordure. Un salaud. Mais qui avait la bonne et tempétueuse idée de mettre un peu de pep's dans cette soirée de vente aux armes. Il fallait que le Joker trouve un moyen de ne pas finir une nouvelle fois dans la tombe. Deathstroke n'était pas quelqu'un qui lâchait la prise en ce qui concernait ses victimes. Mais qui paierait pour la mort du Joker une nouvelle fois ? Qui ? Alors qu'il était supposé être mort. Peut-être Luthor qui essaie de mettre le Joker dans une position inconfortable ? Peut-être quelqu'un derrière les plans de Luthor ? Peut-être, mais le Joker n'y prit pas garde. Il réfléchissait surtout aux possibilités, à comment il pouvait désamorcer le mercenaire sans tirer la moindre balle. C'est alors qu'une brune au masque blanc s'interposa, et dévia l'arme de Deathstroke vers le cœur de la jeune femme. Les choses devenaient de plus en plus intéressantes. S'avançant un peu plus grâce à sa canne, le Joker s'avançait tel un serpent vers l'oiseau.

"Cela devient de plus en plus intéressant ..."

Un tout nouveau jeu se lance, non sans intriguer le prince du rire de Gotham City. Que voulait vraiment cette jeune femme ? Pourquoi s'immiscer entre deux lions qui venaient se partager un butin non négligeable ? Le Joker et Deathstroke étaient des hyènes, et la jeune femme n'était qu'une pièce de viande qu'ils allaient devoir ronger pour avoir les restes de viande encore dessus. Des charognards qui venaient d'être séparés par une proie docile. Le Joker esquissa un léger sourire, un léger rictus, fugace, et presque invisible. L'idée de voir quelqu'un réclamer la mort, et la désirer, ne pouvait qu'intriguer le Joker. Pourquoi réclamer la mort de la part d'un homme comme Deathstroke ? Pourquoi réclamer de mettre fin à ses jours ? Elle devait souffrir, terriblement souffrir au fond d'elle-même. Elle devait se haïr d'être elle-même pour pouvoir se détruire physiquement, et c'était ça qui était savoureux. Levant la main, calmement, le silence se remplissait entre les trois protagonistes.

"Quoiqu'il se passe, Deathstroke, ne la tue pas. Ce serait ... Lui faire une faveur."

Comprendre la psychologie d'un individu, c'était plus amusant que de tirer une balle dans le cœur de quelqu'un gratuitement. Tuer n'est pas amusant si cela n'a pas une connotation comique. Tension entre les trois protagonistes. Le Joker était pourtant la première cible du Deathstroke, et ce-dernier connaissait bien le Joker pour ce qu'il était à la base. Un monstre, une ordure, mais la suite des choses tournaient plutôt en la défaveur de la jeune femme au masque présente. Ses gestes, son attitude, le Joker connaissait bien ce genre de psychologie. Il connaissait parfaitement ces gestes de mort désirée, de suicide personnel. Il avait connu quelqu'un dans ce style là, autrefois. La mort est facile à donner, surtout quand elle vient d'une autre personne. On trouve toujours une certaine lâcheté à refuser de se tuer soi-même. Certains optaient pour le suicide, et jamais personne ne s'en était plaint jusqu'à présent. Les suicidaires ne s'en plaignent jamais, donc, ça doit être forcément appréciable. Cette pensée fit sourire le clown. Mais il ne riait pas, il ne riait toujours pas, lui qui d'habitude, aurait trouvé la situation des plus amusantes, des plus folles, des plus cyniques. Du revers de la main libre, il posa ses doigts sur le menton masque blanc pour tirer le regard de la jeune femme vers lui.

"Pourquoi vouloir mourir, très chère ? Cela ne serait pas si ... Drôle. Qu'en penses-tu Deathstroke ? Mérite-t'elle de vivre, quoiqu'elle ait fait ?"

Le Joker relâcha la jeune femme au masque avant de claquer des doigts. Une idée merveilleuse lui vint en tête, ils allaient tous les deux s'amuser. Peut-être même que cela amuserait les gens. On imagine très peu les ravages de la manipulation, surtout quand on les exerce sur quelqu'un de faible ou de suicidaire. Peut-être même que jouer avec ses sentiments pourrait se révéler très drôle. Il ne faut pas croire, mais quand les choses vont mal, on se réfugie dans les situations les plus extrêmes, on se laisse bercer par la douce voix de l'apathie et du renfermement. Peut-être que cette jeune femme en souffrait intérieurement ? Si c'était cela, alors la chose allait prendre une tournure des plus violentes. Mais toujours sans le sourire, le Clown reprit de sa voix calme et posée.

"Et si nous tirions à pile ou face ? Pile, elle meurt de tes mains, face, elle vit avec sa peine et ses douleurs, comme à chacun sur cette bonne vieille Terre. Et n'oublie pas mignonne. Malgré tout ce qui est arrivé dans ta vie, il y'a forcément une explication loufoque à tout ça. Quelque chose d'irrésistible et de séduisant qui n'attend qu'une chose. Te dévorer."

"See no Evil ... Hear no Evil ... Scars tell Stories."
Le 7.62 est le nouveau noir (Libre tout criminel) (Novembre 9qek

Musique à écouter durant la lecture du RP hug

Spoiler:

The Baddest is back Tricorner Yards, Gotham City.Le 7.62 est le nouveau noir - Criminels •••
Tous les guignols qui m'entouraient faisait dans leur frocs.. sauf ces deux gros malades que j'avais devant moi, ce qui me fit grommeler sous mon casque. J'engageais une balle dans le canon pointé sur cette jeune femme masquée après l'avoir chargé, puis je faisais de même en plaçant mon autre arme sur la tempe de ce gros couillon clownesque histoire qu'il ne commence pas à jouer avec mes nerfs. Je me tournais ensuite vers le vendeur qui ne savait pas trop quoi faire et je soulevais mon casque pour qu'ils prennent tous conscience que cela n'était pas une blague de mauvais goût.. le vrai moi était bel est bien là, mon bouc argenté et mes cheveux de la même couleur bougeaient au gré du vent alors que sans coup de semonce ou avertissement je baissais mon arme pour tirer dans la cuisse de cette femme ne lui prêtant plus réellement attention faisant face au prince du crime.. 49$ ce n'était pas assez pour le ramener à Sionis et en même temps lui aussi voulait me faire la peau pour ce qu'il s'est passé avec Barbara Gordon la dernière fois. J'ai du sauver cette petite pimbêche car j'avais eu une illumination idiote, tout ça à cause de Pamela qui ne voulait pas que je répande le mal autour de moi, cependant, j'étais las de cette situation pitoyable et je devais faire couler le sang des personnes sur lesquelless j'avais un contrat mais pour l'heure.. je devais récupérer l'arrivage d'armes de la LexCorp, il y avait des munitions en kryptonite et surtout des armes dernier cri. Je penchais ma tête sur le côté replaçant mon casque sur ma tête avant de tirer une balle dans l'épaule du vendeur qui tombait au sol, je m'avançais vers lui pour poser mon pied sur le trou que je lui avais fait histoire qu'il souffre.

•• Slade Wilson : L'arrivage spécial, dis moi où il se trouve !

C'était assez drôle car le mec avait tout de même essayé de sortir une arme pour me tirer dessus mais finalement c'est moi qui lui explosais la main pour qu'il soit un peu plus lucide. Dans un élan de douleur il poussa un cri tout en essayant de se secouer dans tous les sens, ce qui malheureusement n'était pas vraiment possible vu la force dont je faisais preuve pour le retenir au sol.. une fois ses cris éteins je le pointais une nouvelle fois, mais cette fois-ci, je visais entre ses deux yeux car l'information qu'il s'apprêtait à me donner allait être sûrement la dernière chose qui sortirait de sa bouche. Il pointait du doigt deux conteneurs qui se trouvaient sur la jetée et je lui envoyais une belle pépite pour rejoindre ses ancêtres.. il m'avait pourtant demandé de le laisser vivre car il avait des enfants. Je rangeais mon arme dans le holster de ma jambe gauche, gardant l'autre flingue dans ma main droite, je me dirigeais désormais vers les conteneurs en zieutant du coin de l'oeil dans la direction de ce clown de pacotille car il pouvait m'attaquer à tout moment mais heureusement j'étais prêt. J'arrivais donc près de ces grosses caisses métallique qui servaient à transporter ce barda et je les ouvrais en faisant sauter le cadenas à l'aide d'une simple balle.. magie, j'entrais à l'intérieur et ouvrais une boîte noir qui semblerait-il était en plomb. Une fois la boîte ouverte, je remarquais que de la lumière verte commençais à m'éclairer, bingo ! C'était bel et bien les munitions en kryptonite, je refermais donc la boîte et l'attrapais par le manche, elle était assez grosse et il y avait environ une centaine de balle.. mission accomplie, je me retournait en regardant dans une autre caisse et l'attrapait aussi, elle contenait des armes très avancées et c'était parfait pour mes affaires. Je retournais près des guignols, je les regardais tout en déposant mes affaires près de moi rangeant mon arme dans le holster droit.. j'étais en place comme un cow-boy dans un duel, il y avait moi, le clown et la truande.

•• Slade Wilson : Il semblerait qu'il ne reste plus que nous.

Je regardais la jeune femme sur qui j'avais tiré, puis je tournais mon regard sur l'homme qui était censé être mort depuis un moment.. apparement renaître tel un phénix était devenue une mode à Gotham. Je soupirais et fit craquer mes phalanges au dessus des crosses de mes armes pour être le premier à tirer s'il y avait besoin de..

•• Slade Wilson : Lequel de vous, veut mourir en premier ? Pour toi Joker c'est tout autre chose.. car je ne te tuerai pas directement non, je vais te faire souffrir.

:copyright: 2981 12289 0

Le 7.62 est le nouveau noirLibre criminel
Le Prince du Crime s’approchait d’elle et de DeathStroke. C’était magnifique et fabuleux. Mais le plus beau était qu’il s’adressait à elle, aussi. Il lui posait des questions et elle se sentait si folle dans ses sentiments contraires et sa haine envers elle-même de ne pas pouvoir répondre. Toutefois, elle essayait, ô qu’elle essayait… Mais de simples bruits aigus mêlés à son souffle étaient audibles. Et pourtant, pourtant, elle voulait tant lui parler de ses souffrances et de ses peines. De trouver en ce clown triste ou en cet assassin froid une once de pitié sur laquelle se reposer.

Toutefois elle se retrouvait encore avec ce canon posé sur la poitrine, prenant le pari que le fer assassin allait mettre fin à toute chose dès ce soir. Mais le Prince en décidait autrement. D’humeur joueuse il voulait tirer à pile ou face le sort de l’ex mannequine. La pièce voletait en l’air alors que l’assassin professionnel baissait son canon pour tirer dans la cuisse délicieuse de la jeune femme. Dans un cris digne d’une créature infernale, Paige s’écroulait au sol. Ses mains, gantées, se crispaient sur la plaie pour arrêter le saignement. Tandis que son visage, derrière son masque se fendait une nouvelle fois, à en faire craquer et sauter ses sutures. Son visage autrefois si gracile et délicat était désormais maudit au point de ne jamais pouvoir se cicatriser ? Devait elle éternellement suppurer du sang par tout les ports à la moindre douleur aussi physique que mentale ? Quoiqu’il en soit, les gouttes carmines s’écoulaient le long du menton pour en poisser son écharpe et le sol. Se roulant au sol de douleur.

C’était bon et à la fois si horrible, si abominable. Dans un sens elle était heureuse. Heureuse de ressentir la peur par la présence du Joker, la douleur par ce fer assassin détonné par DeathStroke. Ces hommes lui rendaient un semblant d’humanité qui semblait inespéré. Une empathie et une palette d’émotions qui allaient lui servir pour ses futures vengeance, c’était assurés. Ces hommes deviendraient ses muses. Des bourreaux qui allaient exalter son sens créatif et artistique par leur seul sadisme.

Elle laissait le soldat faire ses emplettes, la fête était malheureusement terminée tout autour et les clients et vendeurs prenaient la poudre d’escampette. Il ne restait plus un rat et aucune sirène de police n’était audible pour offrir un semblant de porte de sortie. Paige, muette comme une tombe, au sol, arrangeait au mieux un bandage de fortune autour de sa plaie. La balle n’avait, par chance, ou non, pas traversé et un seul trou était à reboucher. L’entièreté de son salut reposait sur la mansuétude du premier et la perspicacité du Joker à se tirer d’un mauvais pas. Avec de la chance, il l’emporterait avec lui… Et là, ce serait comme le début d’un conte de fée.

:copyright:️ 2981 12289 0

Le Criminel

"Ha. Heh. Toujours les mêmes menaces. Toujours cette même assurance qui te caractérise, Wilson. Mais tu radotes, comme un pantin, ton petit numéro éculé. Je vais tuer. Ta tête a un prix. Ha. Le comique. De. Répétition. Tu deviens vieux, Slade. Et ce n'est pas un compliment. Ha."

On imagine pas, mais quand deux psychopathes se rencontrent, il y'a parfois une certaine admiration. Qu'appréciait le Joker chez Slade ? Sa façon de manier le sabre ? De faire toutes les pires missions ? Non. Le Joker appréciait son talent pour semer la mort, sans parler du prix, non. Le Joker aimait voir en Slade un vassal du chaos, de l'anarchie. Un homme qui apportait son effet papillon au monde entier, et les résultats seraient monstrueux dans les prochaines générations. Une affaire à suivre. Sans coup férir, le Joker observait le mercenaire au casque. Un ennemi dangereux et à ne surtout pas sous-estimer. Trouver la faille pour désarçonner un ennemi dangereux. Slade n'était pas quelqu'un de très porté sur la philosophie des choses, mais cette assurance, ce calme face à la mort le titillerait un peu. Peut-être ? Qui sait ? On s'en fout non ? Le Joker l'observait de ses yeux verts, un regard noir qui en disait bien long. Il se tenait droit, prêt à agir si le mercenaire venait à se montrer un peu trop ... Changeant en terme de comportement. Le Clown aimait montrer qu'il pouvait rire de la mort, et se moquer clairement de cet état permanent. La mort n'était rien, seul comptait le combat pour l'avenir de Gotham City. Tandis que les autres criminels s'occupaient de leurs crottes de nez, et volaient au ras des pâquerettes, le Joker, lui, était toujours paré à relever un peu le niveau. L'argent ? La gloire ? Pfeuh. Le travail du Joker était bien plus passionnant, bien plus enrichissant que tout l'or du monde. Et des gens comme Slade ne le comprendraient jamais. L'argent n'était rien. Seul comptait l'idée de faire changer les choses, dans la pire des façons possibles. Reprenant de sa voix, le Joker tourna les yeux vers le mercenaire.

"Je te tuerai une autre fois, Slade. Sois certain qu'aujourd'hui n'est ni le lieu, ni le moment. Tu n'es pas ma proie, et je n'ai aucun grief contre toi. Du moins ... Pas encore. Mais notre contact commun nous empêche de nous déchirer l'un l'autre, n'est-ce pas ? Ha."

Luthor les avait unis, oui, dans une espèce de clan de la Legion of Doom, et malgré les quelques énergumènes dangereux qui en faisaient partie. Deathstroke, lui, n'était qu'un assistant du véritable cerveau de l'opération. La Legion of Doom. En attendant, elle dormait, paisiblement. Luthor avait beau être le président, certaines prérogatives lui donnaient l'impression d'être vraiment chef de tout et de n'importe quoi. Ha. Quelle blague. Un président est un homme entravé par le pouvoir, brisé par les lobbys, et surtout, soumis à une pression horrible. Il serait drôle de voir Luthor sombrer dans une crise existentielle ou de succomber à des pulsions noires. Vraiment. Ce serait amusant, mais c'était une idée à garder pour plus tard. Et à ce moment bien précis, la tension était bien palpable entre les trois protagonistes. Le Joker jugeait du regard, sans sourire. Mais le mercenaire n'était qu'un bonus, une sorte de petite compensation. Ce qui intéressait le Joker dès à présent, c'était cette jeune femme au masque blanc et aux cheveux noirs. Il en avait vu des psychopathes, beaucoup trop, et certains avaient leurs charmes. Et cela pouvait être très drôle si on orientait le couteau vers la bonne cible.

"Une jeune fille, au passé brisé n'est-ce pas ? Voyons. On peut faire mieux que ça non ? Ce serait plus drôle si cette jeune fille nous montrait ce dont elle est vraiment capable. Je suis sûr qu'elle a des fantasmes inassouvis, des désirs intérieurs monstrueux à combler. Tout comme toi, Wilson. Sauf que toi, tu te poses des limites, tu t'interdis certaines choses. Mais ELLE ! Elle, elle, elle, elle ! Elle n'est qu'un matériau brut qui mérite qu'on la façonne, telle une entité de glaise, prête à devenir une œuvre d'art."

Choix de mots véritablement choisi ? Ou bien le Joker faisait exprès de prendre ces mots issus du thème de l'art ? Bonne question, mais sans réponse. Le Joker était quelqu'un de fou, de dangereux, et un esthète parfaitement reconnu dans le domaine du crime. La jeune fille l'intriguait. Et il aimerait connaitre le fin mot de cette histoire. S'avançant vers la jeune femme, qui allait sûrement parler, il posa son doigt gantée sur les lèvres de la jeune femme. Un léger regard dans les yeux de la jeune femme, à travers le masque. Elle cachait un mystère : Son propre visage. Et ce masque lui donnait la parfaite raison d'être ici, dans cet endroit, prête à acheter des armes. Wilson pouvait prendre toutes les armes du monde, le Joker s'en foutait. Finalement, il avait peut-être trouvé sa prochaine arme pour Gotham City. Après tout, les armes ne sont pas que des outils, elles peuvent aussi être des humains. Il eut un léger rictus, mais son regard était sévère, noir.

"Chuuuuut, ne dis rien. Ne dévoile pas tes origines. Je suis sûr que ça en vaux la peine de se montrer mystérieuse, mais tu sembles avoir tellement de potentiel, tellement de possibilités ... Ah comme je t'envie de découvrir ces sentiments. L'adrénaline d'une rencontre, cette sensation électrique qui vous pousse à devenir de plus en plus monstrueux à chaque rencontre ... Cette délicieuse pensée me ravit et me donne l'envie de tirer une balle dans le crâne d'une rousse paralysée et de l'enfiler pendant des heures. Ha."

Toujours sans sourire cependant, le Joker essayait de trouver les mots justes qui dérident, qui donnent l'envie de rire. Mais rien n'y faisait. Il n'arrivait pas à trouver le bon choix de mots pour retrouver son terrible rire. Il fallait être logique dans la suite des évènements, et Slade ne comprendrait certainement pas les paroles du Joker. Trop limité pour comprendre la partie d'échecs en quatre dimensions qui se déroulait dans l'esprit du Joker.

"See no Evil ... Hear no Evil ... Scars tell Stories."
Le 7.62 est le nouveau noir (Libre tout criminel) (Novembre 9qek

Musique à écouter durant la lecture du RP hug

Spoiler:

The Baddest is back Tricorner Yards, Gotham City.Le 7.62 est le nouveau noir - Criminels •••
J'avais tout ce dont j'avais besoin et en soit plus d'intérêt de rester là.. ces deux guignols ne me servaient à rien, terminons en rapidement. Je dégainais mon arme rapidement pour la placer sous le menton du Joker alors que je m'approchais de lui, un soupire s'échappait de mes lèvres alors que j'entendais les sirènes des voitures de police non loin de là, je tournais rapidement la tête au dessus de mon épaule me demandant s'il ne valait pas mieux que je bute les deux là avant que les condés débarquent. Mes grognements se faisait insistants alors que je pressais le canon de plus en plus son crâne d'empafé. Mon doigt titillait la gâchette alors que je m'apprêtais à lui caler une balle dans le buffet, mais il y avait effectivement ce putain de problème Luthor, qu'est-ce qu'il m'avait pris de m'allier à ce taré de clown, je le devais à Pam', c'est elle qui m'avait tiré dans ce putain de guêpier parce que le président lui a offert des projets relatifs à la nature et à l'environnement.. ce salopard de menteur ! Je retirais donc mon arme de sa tête de nœuds avant de la ranger dans son étuis, je me retournais et marchait tranquillement vers la boîte noir que j'avais récupéré, une fois de plus j'allais m'en aller comme j'étais venu sans trop de problèmes mais je me doutais qu'en même qu'en sortant des lieux j'allais devoir me fritter à la police de cette ville de merde.. la jeune femme avec le masque était vraiment très étrange, malgré la balle que je lui avait mise, elle semblait être.. non au contraire, on dirait que cela ne lui avait rien fait, aimait-elle ça ? Je m'arrêtais un instant vers elle en s'accroupissant pour la contempler brièvement, elle qui cachait son visage derrière ce masque, je la reverrai sûrement dans d'autres circonstances.

•• Slade Wilson : Ce tir n'était pas un coup de chance.. méfies toi des gens comme moi. Et toi le clown.. ne t'inquiète pas, ce n'est que temporaire mais je n'aurai aucun problème à empaler ta tête sur un pic pour que tout Gotham te voit mort une bonne fois pour toute !

Plus de doutes possible, le jour ou cette alliance sera terminée je m'occuperai de tous ces guignols de la Legion Of Doom, en commençant par lui et Crane. Je commençais à m'en aller doucement quand j'aperçu deux voitures de patrouilles qui entraient dans Tricorner Yards sans les sirènes.. et bien, ils n'était pas avertit et il venait sûrement pour cause d'appels téléphoniques de personnes qui passaient dans le coin ou même de criminels pour essayer de nous mettre hors course. Très bien, je me permettais de marcher dans leur direction avec ma boîte d'armes et de munitions spéciales en main, alors que je sortais mon arme accessible d'une seule main, je pointais la première voiture pour tirer une balle dans la tête des deux officiers présents.. je n'avais plus aucun scrupule à tuer, c'est terminé d'être gentil, je regardais l'autre voiture qui cette fois-ci s'arrêtait pour que les deux autres agents se mettent derrière leur portière respective.. l'un deux m'invitait à arrêter de bouger et à mettre mes mains derrière la tête. Je n'en fit rien et ils ouvrirent le feu, je me prenait la première balle sans broncher vu le blindage de mon armure.. mais la deuxième balle arrivait sur mon casque et ça par contre.. je l'appréciais guère, malgré le blindage de celui-ci je détestais être touché à la tête et d'un pas déterminé je m'avançais pour les vider mon chargeur sur les deux hommes, l'un pris une balle dans la tête et une balle dans l'œil alors que l'autre s'était caché derrière sa portière en pleurnichant comme une fillette.. je faisais le tour de la voiture pour l'attraper par le col et enfoncer le canon de mon arme dans sa bouche.

•• Slade Wilson : Avale ça tête de con !

Je lui défonçais le crâne avec ce tir digne d'un film de Tarantino alors que je retirais mon arme de sa bouche pour la secouer un coup avant de la ranger dans son étui. J'enfourchais ensuite ma moto qui était garée non loin d'ici pour lancer deux grenades sous les véhicules histoire de les empêcher de les tracer..

•• Slade Wilson : Boom..

Une fois que les deux grenades aient fait exploser les voitures de patrouille, je retournais pour démarrer ma bécane et je m'en allais avec tout mon matos histoire de rentrer chez moi et préparer mes futures actions, Gotham allait vivre sa pire année je le jure.